Randonnée sur les grands causses : du Larzac au Sauveterre en passant par le Mont Aigoual et le causse Méjean par les GR 71 et 60
Voici une randonnée magnifique qui vous fait passer par le causse du Larzac, le causse de Campestre, le Mont Aigoual, le causse Méjean, les gorges du Tarn et le causse de Sauveterre. Tout en empruntant plusieurs GR : GR 71, GR 66, GR 62 et GR 60.
Il faut aussi dire que les causses, au même titre que les Cévennes, ont été inscrits en 2011 au patrimoine mondial de l’humanité dans le cadre de la préservation du « paysage culturel de l'agro-pastoralisme méditerranéen ».
Difficulté : moyenne.
Seule la remontée des gorges du Tarn par l'écomusée du Boisset peut présenter quelques difficultés quand on porte un gros sac à dos.
Prévoir impérativement une bonne réserve d'eau car il y a très peu de fontaines, les causses étant constituées de pierres calcaires.
Prévoir aussi la nourriture à emporter car les seuls magasins d'alimentation que vous trouverez sur le parcours sont au Caylar, Dourbies et Sainte-Enimie.
Pour mieux se repérer, on peut se munir des 2 cartes IGN au 1:100 000 série TOP 100 :
- référence TOP100170 = Montpellier - Nîmes.
- référence TOP100162 = Rodez - Millau.
Il existe aussi une appli pour smartphone qui fournit moyennant un abonnement toutes les cartes IGN : il s’agit de « Visorando ».
Pour plus d’informations sur l'appli, cliquez ici
Transport :
Au départ de Montpellier (la gare routière est à environ 300 mètres de la gare SNCF), prendre l'autocar de la ligne n° 661 / 681 direction Lodève ou Millau et descendre au Caylar :
Pour consulter les horaires de car, cliquez ici
(Dans "Saisissez une numéro de ligne", écrire 661 ou 681)
Pour se déplacer, on peut aussi utiliser le covoiturage : https://www.blablacar.fr/
1ère journée
Le Caylar - La Couvertoirade = 6 km (durée 1h15) par le GR 71
Dénivelé positif = 80 m (Le Caylar = 740 m / point culminant du GR = 820)
Dénivelé négatif = 50 m (point culminant du GR = 820 / La Couvertoirade = 770 m)
Office du tourisme, arbre sculpté et petite alimentation sur la place du Caylar dominée par le Roc Castel. C'est là le point de départ d'une belle rando de plus de 4 jours à travers les causses.
La place du Caylar : l'arbre sculpté et, derrière, la tour de l'horloge
Vous sortez du Caylar en suivant la route jusqu'au camping. Juste avant, vous avez une lavogne sur la droite et c'est là que le GR 70 quitte la route et part sur le causse. D'abord il se faufile entre beaucoup de rochers, puis ceux-ci disparaissent peu à peu. Après le passage à proximité du Domaine de mas d'Aussel, le sentier s'élève lentement pour franchir une colline.
Arrivé sur le versant opposé, vous avez une belle vue sur la commanderie et le moulin qui la voisine.
Vous entrez par la porte d'aval à La Couvertoirade qui fait partie de l’association des « Plus beaux villages de France ».
Le gîte d'étape se trouve à proximité.
Pour plus d'informations sur le gîte de La Couvertoirade, cliquez ici
Visite impérative du village fortifié.
L'été, lorsque la saison touristique tourne à plein régime, cafés et restaurants ne manquent pas. Mais, hors saison, la plupart sont fermés.
N'hésitez pas à monter au pied du moulin pour embrasser la belle vue du village et de ses environs.
Le moulin à vent du Rédounel
Au fond, la montagne du Lingas que la rando traversera demain
2ème journée :
La Couvertoirade - Dourbies = 30 km par les GR 71 et 66 (durée 7h30 environ)
Pour visualiser le tracé, cliquez ici
(Lorsque vous ouvrez Openrunner, cliquer sur l'icône située à gauche de la carte et qui renferme 3 carrés superposés pour obtenir la carte IGN ou la vue satellite).
- La Couvertoirade - Homs = 2h20 / 2h30 (11.3 km)
En quittant La Couvertoirade, vous passez devant une lavogne. Puis, le GR file vers l'extrémité ouest du causse du Larzac. Pendant près d'une heure, le chemin est large et plat avant de gagner la petite vallée sèche de la Virenque. Une petite centaine de mètres de dénivelé et vous arrivez au fond.
Dénivelé négatif = 120 m (La Couvertoirade = 770 m / La Virenque = 650 m)
Le vallon de La Virenque
Le lit de La Virenque
En fait, La Virenque a disparu (= perte de La Virenque) et le GR remonte sur plus d'1 km son lit devenu complètement sec. Puis, brusque remontée sur le versant opposé pour déboucher sur le causse de Campestre.
Dénivelé positif = 90 m (Le Virenque = 660 m / Mas Gauzin = 750 m)
Sur le causse de Campestre
Lavogne sur le causse de Campestre
Au Mas Gauzin, bien prendre la direction de Homs et non celle de Campestre.
Au premier plan, des sotchs et, au fond, la montagne du Lingas
A l'entrée de Homs, panonceau qui vous indique la présence d'une lavogne à 100 m sur la droite.
Lavogne d'Homs
- Homs - col de la Barrière = 40 minutes (2.9 km)
Puis le GR continue de se rapprocher des monts du Lingas. Attention à bien suivre les balises.
- Col de la Barrière - pic Saint-Guiral = 2h30 (8.8 km)
A noter qu'au col, vous avez un panonceau vous indiquant les temps de parcours suivants : col de la Barrière - La Couvertoirade = 4 heures et col de la Barrière - Dourbies = 4h30.
Dénivelé positif = 520 m (col de la Barrière = 810 m / St-Guiral = 1 330 m)
Arrivé au col de la Barrière (805 m d'altitude), vous vous engagez sur une route forestière. Rapidement, vous observez un total changement de végétation. L'ascension vers le Pic Saint-Guiral est très longue et vous n'avez aucun point d'eau sur le chemin.
En montant vers le pic Saint-Guiral
Beaux points de vue sur les Cévennes :
Sur la fin, le GR pénètre dans une très surprenante hêtraie (admirez la forme des arbres) avant d'atteindre le pic Saint-Guiral.
Le pic Saint-Guiral (1 366 m)
Au pic, essayer de monter jusqu'à son sommet pour bénéficier d'un magnifique panorama.
Au fond, on distingue l'observatoire du Mont Aigoual à droite des deux antennes
Les gorges de La Dourbie et la montagne du Suquet que la rando franchira demain
- Pic Saint-Guiral - Dourbies = 1h45 / 2h00 (7 km)
Dénivelé négatif = 430 m (St-Guiral = 1 330 m / La Rouvière = 900 m)
Le GR contourne le pic avant d'aboutir à un carrefour. Là, on quitte le GR71 pour le GR66. Puis, c'est la descente vers Dourbies. Au début, le GR emprunte une route forestière, puis s'en éloigne pour se transformer en sentier qui rapidement vous fait perdre de l'altitude. Descente entièrement dans les bois. Le GR finit par rejoindre une petite route goudronnée que vous suivez sur jusqu'à l'entrée du hameau de La Rouvière (présence d'un point d'eau potable). A cet endroit, le GR quitte la route sur la droite pour rejoindre au plus court Dourbies. Avant l'arrivée au village, vous traversez La Dourbie sur une passerelle en bois. Le gîte se trouve près de l'église, en haut du village.
Pour plus d'informations sur le gîte d'étape de Dourbies, cliquez ici
3ème journée
Dourbies - Mont Aigoual = 20 km par les GR 66 et 62 (durée 5h25 environ)
Pour visualiser le tracé, cliquez ici
- Dourbies - Camprieu = 2h45 / 3 heures (9.5 km)
Dénivelé positif = 415 m (Dourbies = 870 m / col du Suquet = 1 285 m)
Tout de suite, le GR 66 s'accroche au versant nord des gorges de la Dourbie pour grimper jusqu'au col du Suquet. Pas d'ombre durant toute l'ascension pour laquelle il faut compter environ 1 heure.
La montée vers le col du Suquet (1 280 m)
Après le col, le GR se divise en 2 parties. Prendre la route forestière qui part sur la droite. Longue marche en forêt. Il faut arriver au col des Ubertes pour bénéficier d'un bref panorama sur les environs. Plus loin, le GR retrouve la forme d'un sentier en quittant "discrètement" sur la gauche la route forestière (soyez donc vigilant !) pour descendre rapidement vers une route goudronnée qu'on suit sur à peine une centaine de mètres avant de reprendre la descente vers le fond de la vallée. Passage du torrent le Trevezel sur un gué.
Dénivelé négatif = 180 m (col des Ubertes = 1 230 m / le gué = 1 050 m)
Le gué
De l'autre côté, quelques maisons. Ensuite, vous remontez toujours à travers bois vers le village de Camprieu situé sur le causse éponyme. Point d'eau et alimentation. Si vous avez le temps sachez qu'en faisant un détour d'un peu plus de 2 km vous pouvez visiter l'abîme de Bramabiau.
- Camprieu - Mont Aigoual = 2h40 (10,5 km)
Dénivelé positif = 469 m (Camprieu = 1 100 m / Mont Aigoual = 1 569 m)
Après la traversée de Camprieu, le GR62 (on a quitté le GR66) se dirige vers la vallée du Bonheur. A l'entrée, un lac puis c'est une grande piste jusqu'à la Baraque neuve (en fait une grande ferme) puis les Baraques vieilles. Au passage, vous pouvez apercevoir des vautours dans le ciel. Après, le chemin pénètre dans une forêt de hêtres pour remonter, par à-coups, vers le col de Serreyrède (1 299 m). Du col, le GR part de suite à gauche vers la station de ski de Prat Peyrot (1 420 m d'altitude).
De la station, il reste moins de 150 m de dénivelé. Toujours dans la forêt, le GR s'élève lentement vers le sommet. C'est à peu près à 1 km de l'arrivée, lorsque vous débouchez sur les pelouses, que la vue se découvre sur le causse Méjean, les monts Lozère, etc ....
Vers les gorges de la Jonte et le causse Méjean
Le sommet du Portalet (1 565 m)
Le GR rejoint la route et il reste 1 km à parcourir avant d'atteindre l'observatoire qui apparaît au dernier moment de l'étape.
L'observatoire du Mont Aigoual
Profitez de la vue et des lumières du soir pour y réaliser de belles photos. Et puis, n'hésitez pas à contempler le coucher du soleil depuis la tour.
Vers la montagne du Bougès et, au fond, le mont Lozère
Table d’orientation du Mont Aigoual
En direction du col de l'Asclier
Attention, il vaut mieux réserver à l'avance la nuitée dans le refuge car, d'une part, il n'est pas ouvert toute l'année et, d'autre part, il peut y avoir beaucoup de monde en particulier les week ends et durant les vacances.
Pour plus d'informations sur le gîte d'étape du Mont Aigoual, cliquez ici
Panonceaux directionnels
4ème journée
Mont Aigoual - Sainte-Enimie = 36 km par le GR 60 (8h25 de marche environ)
Pour visualiser le tracé, cliquez ici
Attention, prévoir une bonne réserve d'eau s'il fait chaud !
- Mont Aigoual - col de Perjuret = 12 km (2h25 environ)
Dénivelé négatif = 541 m (Mont Aigoual = 1 569 m / col Perjuret =1 028 m)
Au départ du Mont Aigoual, on reprend en sens inverse le chemin de l'arrivée de la veille pendant 1 km. Puis le GR bifurque vers Cabrillac. Tout en contournant le Portalet, on suit pendant près de 2 km la route avant de vraiment s'en éloigner.
Levée du soleil sur les pentes de l'Aigoual et du causse Méjean
On la rejoint au Plo du Four pour immédiatement la requitter, le GR remontant sur un dénivelé de 100 m dans un bois avant de descendre définitivement en tant que sentier vers Cabrillac avec de beaux aperçus sur le causse Méjean.
Cabrillac
Vallée et gorge de la Jonte
A Cabrillac, on retrouve la route qu'on suit sur quelques centaines de mètres. Le GR lui fausse encore compagnie sur la droite et remonte lentement en forêt. Encore un dénivelé de 100 mètres. Nouvelle descente pour retrouver la route au col de Fourques (1 040 m). Belle vue sur le contrefort du Méjean sur la droite.
Corniche du causse Méjean vue depuis le col de Fourques
On suit la route jusqu'au col du Perjuret.
- Col du Perjuret - Nivoliers = 2h30 (10 km)
Là, c'est la bordure du causse. Une petite route vous y emmène, puis, une fois à l'intérieur, le GR retrouve sur la gauche une piste. Encore une petite montée et c'est l'apparition du paysage caussenard dans toutes sa splendeur.
Une immensité vide à perte de vue.
A hauteur du lieu-dit Galy, le GR traverse une petite route qui vous permet de vous y rendre si vous allez vers le chaos de Nîmes le Vieux. Sinon, c'est tout droit. A gauche, indication de la présence d'un dolmen à 300 m. Perso je ne l'ai pas trouvé ...! Le GR domine quelques "sotch" puis s'élève lentement au milieu d'un paysage aride, vous offrant les plus belles vues sur le causse (sur la gauche) avant d'arriver sur le plateau en lisière de la forêt de pins.
Longue marche dans une forêt de pins puis, arrivé en lisière, belle vue sur un le causse Méjean dont le paysage est curieusement différent de celui que vous venez de traverser ....
Vous apercevez Nivoliers puis, au loin, le relief le plus haut qui est le Puech d'Alluech vous indique qu'il vous reste encore une bonne marche à faire car le GR passe au pied avant d'atteindre les gorges du Tarn. Descente sur Nivoliers.
Petite alimentation, gîte d'étape (Auberge du Chanet) et si vous n'avez plus d'eau, possibilité d'en demander auprès d'un habitant.
Pour plus d'informations sur le gîte d'étape de Nivoliers, cliquez ici
Puis le GR quitte à nouveau toute "concentration humaine" pour un bon moment.
- Nivoliers - Sainte-Enimie = 3h30 (14 km)
Plaine du Chanet
Les paysages sont nettement moins pelés et beaucoup plus boisés que dans la première partie du Causse.
Menhir après La Fraisse
Après l'ascension d'un petit raidillon, le GR rejoint une petite route qui passe au pied du Puech d'Alluech (1 028 m) avant d'atteindre le hameau de Chamblon (1 014 m) à proximité duquel la vue sur l'entaille que forme les gorges du Tarn dominé par le causse de Sauveterre est superbe.
Après Prunets, le GR descend gentiment jusqu'en bordure des gorges puis il se transforme en sentier qui en longs lacets vous permet de rejoindre le fonds des gorges avec plus de 500 m de dénivelé.
Dénivelé négatif = 520 m (Prunets = 990 m / Sainte-Enimie = 470 m)
A Sainte-Enimie (480 m) qui fait partie de l’association des « Plus beaux villages de France », vous avez des hôtels ainsi qu'un gîte qui est situé à 1 km du centre.
Pour plus d'informations sur le gîte, cliquez ici
Pour plus d'informations sur les hôtels, cliquez ici
Vous y trouverez aussi une petite alimentation et une boulangerie.
Le vieux pont sur le Tarn à Sainte-Enimie
5ème journée
Sainte-Enimie - Chanac (gare SNCF) = 24 km (5h25 environ)
Pour visualiser le tracé, cliquez ici
- Sainte-Enimie - Le Boisset = 1h10 (3 km)
Dénivelé positif = 460 m (Sainte-Enimie = 470 m / Le Boisset = 930 m)
Si vous appréciez l'architecture locale, je vous conseille de vous écarter un peu du GR60. Prendre la rue de la Combe, la remonter en partie pour trouver sur la droite un sentier balisé avec indication "Nissoulogres". Le chemin - raide par endroit et pas toujours bien indiqué - vous emmène de Sainte-Enimie au lieu-dit du Boisset qui est une ancienne ferme caussenarde qui a été entièrement restaurée par le conseil général de Lozère pour être transformée en écomusée.
Si vous préférez éviter ce détour et rester sur le GR60, il vous faut compter 2h30 de marche de Sainte-Enimie à Champerboux pour une distance de 7.5 km.
Le sentier s'agrippe aux flancs des gorges du Tarn et grimpe un bon 500 mètres de dénivelé. Magnifique point de vue sur les gorges du Tarn près de la ferme du Boisset (975 m).
La ferme du Boisset
Point de vue sur les gorges depuis la ferme du Boisset
Pour retrouver le GR, suivre la route sur la gauche juste après la ferme.
- Ferme du Boisset - Sauveterre = 1 heure (4.5 km)
Dénivelé positif = 155 m (croisement = 860 m / Sauveterre = 1 015 m)
Peu avant le croisement avec la route qui vient de Sainte-Enimie, vous rejoignez le GR60. Ce dernier traverse la route départementale pour s'élever vers Champerboux. Quant à moi, à ce croisement, j'ai opté pour abandonner le GR60 encore une fois et suivre la route en direction de Mende. Je voulais passer par le village de Sauveterre car il y a quelques belles maisons caussenardes à voir malgré le manque de moyens financiers pour les entretenir. 2 km plus haut, au croisement en T avec la route de Chanac, prendre en face de cette dernière la draille qui monte à Sauveterre (1 000 m) et qui est balisée en GR44. Arrivé au village, faites un tour et continuer un peu le GR 44 pour avoir de belles vues sur le causse de Sauveterre.
Maison caussenarde à Sauveterre
Causse de Sauveterre
- Sauveterre - Champerboux = 30 minutes (2.5 km)
Puis, revenez sur vos pas sur le GR 44 jusqu'au croisement route de Chanac et route de Mende. Le GR 44 continue en face sur le macadam avant de le quitter plus loin. Vous arrivez au-dessus de Champerboux (940 m).
Pour plus d'informations sur le gîte d'étape, cliquez ici
- Champerboux - croisement D32 = 1h45 / 2 h00 (9 km)
A Champerboux, vous quittez le GR44 pour rejoindre le GR60 qui vient de Sainte-Enimie et qui arrive sur votre gauche. Après Champerboux, le GR60 part plein ouest et va rapidement pénétrer dans une grande forêt. A hauteur du dolmen de l'Aire des Trois Seigneurs (il manque la dalle qui le recouvrait), le chemin rejoint une belle piste forestière, quasiment plate. 1 km plus loin, c'est le dolmen de la Cham.
Dolmen de la Cham
En fait, cette piste est la draille de Lozère. Lorsque vous la quittez pour rejoindre une petite route, vous avez encore un dolmen (dolmen de La Rouvière) sur la droite puis vous marchez 3 km avant de couper la route départementale D32 qui va à Chanac. Ne ratez pas la petite cazelle au fond du champ sur la droite.
- Croisement du GR 60 avec la D32 - gare de Chanac = 1h10
Au croisement du GR 60 et de la D32, soit vous continuez sur Banassac - La Canourgue, soit vous optez pour Chanac. Perso, je suis allé à la gare de Chanac pour prendre le train (fin des congés oblige !). C'est de la route et du GR de pays sur près de 5 km.
Transport = ligne TER Mende - Millau ou Mende - Clermont Ferrand.
Pour consulter les horaires, cliquez ici
(Déroulez la page jusqu'à la rubrique "Horaires et Travaux")
Pour ceux qui veulent continuer jusqu'à la gare SNCF de La Canourgue, il reste un peu plus de 16 km pour plus de 4 h de marche (4h45 d'après le topo guide). Il y a plusieurs années, je l'avais parcouru et, pour moi, les paysages sont beaucoup moins intéressants que ceux que je viens de vous décrire.
Présence d'un gîte d'étape à La Canourgue:
Pour plus d'informations, cliquez ici
Bonne rando.
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Avertissement : l'auteur de ce blog décrit la randonnée à titre informatif et décline toute responsabilité en cas d'incident ou d'accident.