Amiens, les lieux incontournables à visiter en Picardie
Amiens est une ville surprenante. En effet, vous trouverez peu de personnes autour de vous, sauf si elles viennent de Picardie, pour vous en dire du bien, car elles ne la connaissent pas et n'ont pas forcément envie de s'y intéresser. C'est là toute la différence avec Lille, l'autre grande ville du nord, qui, même quand on n'y est jamais allé, a déjà une si bonne réputation que tout un chacun n'hésitera pas à s'y rendre si l'occasion se présente à lui. Et pourtant, Amiens qu'on surnomme aussi la "petite Venise du Nord" en raison des nombreux canaux qui traversent le quartier Saint-Leu, mérite un bien meilleur sort que celui d'une ville qui parait sans séduction. C'est tout de même là qu'on trouve la plus grande cathédrale de France et c'est aussi là qu'il est possible d'effectuer un tour en barque parmi les jardins flottants situés en plein centre-ville ...! Alors partons sans plus tarder à la découverte de la capitale picarde d'autant plus que l'accès depuis Paris est facile.
Au sommaire :
- visite du quartier de la cathédrale
- le quartier Saint-Leu
- les hortillonnages
Quartier Saint-Leu à Amiens (pont de la Dodane et, en arrière-plan, le clocher de l'église Saint-Leu)
Comment venir à Amiens :
- En train (environ 1h20 de trajet depuis Paris Gare du Nord pour un trajet de 130 km) :
Pour les horaires, cliquez ici
- En bus :
Depuis la loi Macron de 2015 sur la libéralisation du voyage en autocar longue distance, des opérateurs ont ouvert des lignes de bus à bas coût qui desservent Amiens :
Pour plus d’informations sur FlixBus, cliquez ici
Pour plus d’informations sur BlaBlaCar Bus, cliquez ici
Pour se déplacer, on peut aussi utiliser le covoiturage : https://www.blablacar.fr/
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Cartes de la ville
L'office de tourisme se trouve sur le parvis de la cathédrale, à 900 m à pied de la gare SNCF.
Pour consulter le plan du centre-ville distribué par l'office de tourisme, cliquez ici
Pour consulter le plan d'Amiens sur OpenStreetMap, cliquez ici
Pour afficher Amiens et ses environs sur le site GEOPORTAIL, cliquez ici
Météo :
Brève histoire d'Amiens
Pour lire mon article de blog consacré au passé de la ville, cliquez ici
Visite d'Amiens
133 625 habitants - chiffre de l'INSEE en 2021
Ci-dessous, voici un parcours à réaliser qui vous permettra de voir l'essentiel de la ville.
Pour visualiser le tracé, cliquez ici
En sortant de la gare SNCF, traversez la place Auguste Fiquet en direction de la tour Auguste Perret pour emprunter la rue de Noyon qui est entièrement piétonnisée. Vous voici sur l'axe principal de la ville qui part en direction de l'Hôtel de Ville.
Tout le quartier de la gare a été réaménagé d'après les plans de l'architecte Auguste Perret établis dès 1942 dans le cadre de la reconstruction de la ville détruite par les Allemands.
Le monument le plus emblématique en est la tour en béton armé qui ressemble à un beffroi. Faute de financement, les travaux n'ont débuté qu'en 1949 pour s'achever en 1952. Située en face de la gare terminée en 1958, elle culmine à 104 m de haut (aujourd'hui 110 m) soit une hauteur un peu moindre que celle de la flèche de la cathédrale (112,60 m). A l'intérieur, elle est occupée par des logements et des bureaux. En 2005, un cube de verre haut de 6 m a été rajouté à son sommet pour permettre de lire l'heure !
Tour Perret vue de la place René Goblet
Traversez la place René Goblet aménagée au 19e siècle et qui conserve encore quelques immeubles de cette époque-là. Continuez votre parcours en empruntant la commerçante :
Rue des Trois Cailloux :
- Au n°30, à l'intersection avec la rue Ernest Cauvin se dresse le bâtiment art déco "Grands Garages de Picardie" qui date de 1929. D'ailleurs, n'hésitez pas à faire un aller-tour dans la rue Cauvin pour aller voir d'autres immeubles art déco dont fait partie celui qui abritait un cinéma.
- Au n°25, la façade de l'édifice qui abrite actuellement la banque LCL est celle de l'ancien théâtre néo-classique construit entre 1778 et 1779 et qui a été épargnée par les guerres. Pour la petite histoire, sachez qu'il a fallu la déplacer à l'aide de vérins en raison de l'élargissement de la rue dans le cadre de la reconstruction de la ville en 1950.
- Au n°12, l'ancien magasin des Nouvelles Galeries construit en 1927 dans le style art déco.
Au n°21, tournez à droite pour passer sous un immeuble en empruntant le passage du Logis du Roi qui vous amène sur une place où on peut voir, côté est, le palais de justice, et côté ouest :
Le logis du Roi qui est un édifice de style gothique flamboyant construit vers 1520.
La maison du Sagittaire : comme il ne restait plus que la façade de cette maison bâtie en 1593 dans la rue des Vergeaux après les bombardements allemands de mai 1940, il a été décidé de la démonter entièrement pour la réédifier à côté du Logis du Roy en 1960.
Le Logis du Roi (à gauche) et la façade de la maison du Sagittaire (à droite)
Continuez en direction de la cathédrale en traversant le square Jules Bocquet pour vous engager dans la rue Robert de Luzarches qui arrive en face du portail de la Vierge dorée. Au n°39, s'élève un bel immeuble de style art déco.
Portail de la Vierge dorée au bout de la rue Robert de Luzarches
La cathédrale Notre-Dame
Classée au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco en 1981 en tant que chef d'œuvre d'architecture puis, en 1988, au titre des chemins de Saint-Jacques de Compostelle, c'est la plus vaste cathédrale gothique du monde médiéval.
Pour lire mon article de blog consacré à la visite de la cathédrale d'Amiens, cliquez ici
Quittez le parvis de la cathédrale en suivant la rue Dusevel pour voir :
L'horloge Dewailly
On surnomme aussi cette horloge à 3 cadrans édifiée en 1896 et reconstruite en 2000 de "Marie sans Chemise", car on y trouve une statue en bronze réalisée en 1898 d'une nymphe à moitié dévêtue.
Continuez dans la rue des Sergents pour arriver sur la place Gambetta. Durant l'antiquité, c'est ici que se trouvait le forum romain et on peut encore en voir quelques vestiges protégés par deux "hublots" en verre intégrées dans le sol. Dirigez-vous vers la rue Delambre et suivez-la jusqu'à :
L'Hôtel de Ville
Le bâtiment central de style néoclassique date de 1756 et, au milieu du 19e siècle, on lui a rajouté les deux ailes terminées par des pavillons.
Il occupe l'emplacement de l'amphithéâtre gallo-romain.
Rendez-vous à l'arrière de la mairie pour voir :
La maison du baillage
Encore appelée "La Malmaison", elle a miraculeusement conservé sa façade de style gothique (1541) malgré les bombardements des deux guerres mondiales.
Le beffroi
Situé place au Fil, il s'élève à 52 m de haut et sonne à chaque heure. Edifié en 1410, sa partie sommitale est reconstruite après un incendie survenu en 1742 et, de nouveau, après les destructions occasionnées par la seconde guerre mondiale. Il est classé au patrimoine mondial de l'humanité par l’UNESCO au titre des beffrois du nord en 2005.
Il symbolisait le pouvoir communal face à celui de l'Eglise et du Seigneur car c'est ici que se réunissaient les échevins de la ville. Il servait aussi de tour de guet ainsi que de prison puisqu'on recense 18 cellules sur les murs desquelles sont conservées de nombreuses traces de graffitis.
A 9h00 du matin, vous pouvez entendre l'air intitulé "Dans ce joli bois" qui est une ronde picarde.
A savoir : vous ne pouvez le découvrir que dans le cadre de visites guidées hormis durant les journées du patrimoine.
Graffiti de Saint-Nicolas
Au nord du beffroi, en descendant la rue du chapeau de Violettes, vous arrivez à :
L'église Saint-Germain l'Ecossais
Ella a été construite dans la seconde moitié du 15e siècle en adoptant le style gothique flamboyant avec une hauteur sous voûte atteignant 14 m. Le clocher, quant à lui, a été édifié entre 1484-86, juste à côté de l'édifice, mais, comme le terrain était meuble, il s'est mis à pencher. Au 16e siècle, pour éviter qu'il ne s'écroule, il a fallu agrandir l'église pour l'y intégrer.
A voir à l'intérieur :
- la mise au tombeau (1506) et, à proximité, la statue de Sainte Catherine d'Alexandrie (16e siècle)
- le Christ de pitié (16e siècle)
- les clefs de voûtes dans les bas-côtés du chœur
A savoir : actuellement, elle ne se visite que durant les journées du patrimoine car elle est fermée au public depuis 2005 pour des raisons de sécurité (fin du culte en 1995).
Christ aux liens (début 16e siècle)
Rendez-vous au chevet de l'église pour vous engager dans la rue Jean Godris puis la place au Feurre. Traversez la large avenue pour vous continuer dans la Grande Rue de la Veillère qui part en face. Arrivé au pont, tournez à droite pour longer le canal en suivant la rue Tagault jusqu'à ce qu'elle rejoigne la rue Saint-Leu qui n'est autre que l'ancien tracé de la via Agrippa. Vous voici parvenu à l'entrée du :
C'est au Moyen Age que les canaux ont été creusés pour les besoins de l'industrie (moulins, teinturiers, tisserands, métallurgie). Au 19e siècle, c'est devenu un quartier ouvrier. Après la seconde guerre mondiale, l'endroit est devenu peu à peu insalubre et malfamé car laissé à l'abandon. C'est en 1974 qu'une politique volontariste de rénovation et de restauration a été décidée, en plus de l'installation d'une université, ce qui a permis de sauver cet endroit qui est devenu très touristique et qui est aussi très animé (voir les nombreux cafés et restaurants sur le quai Belu et place du Don).
A savoir :
Des 25 moulins qui existaient dans le quartier Saint-Leu au Moyen Age, il en reste encore un, le moulin Passe-Avant, situé à proximité de l'angle des rues Saint-Leu et des Clairons. Reconstruit en 1528, il a été réhabilité en 2016.
L'église Saint-Leu
C'est une église-halle (les 3 nefs sont de dimensions égales) de style gothique flamboyant. Elle a été construite dans la seconde moitié du 15e siècle pour remplacer celle qui se trouvait là et dont on a conservé le portail du 13e ou 14e siècle qui donne sur la rue Saint-Leu.
A l'extérieur, le clocher date du 16e siècle car le précédent s'était écroulé le jour de Pâques de l'année 1581 en causant la mort de 69 personnes.
A voir à l'intérieur :
- la voûte en chêne évoque une carène de bateau renversé
- les poutres en sablière qui sont ornés de blochets sculptés en forme de têtes humaines
- le "Christ aux liens" à l'entrée du bas-côté sud.
- face à la chaire à prêcher, le beau christ en croix qui date de la fin du Moyen Age
- les statues dans le chœur
A savoir : l'église est rarement ouverte en dehors des offices qui ont lieu le mercredi à 19h et le dimanche à 18h.
Christ aux liens (statue en bois de la fin du 15e siècle)
Statue de l'archange Saint-Michel en bois blanchi (18e siècle)
Flânerie au cœur du quartier Saint-Leu
Ne pas hésiter à se balader dans les ruelles pavées pour voir les maisons basses et colorées. Beaucoup ne sont plus d'origine mais elles ont été reconstruites dans le style du passé.
De passerelle en passerelle, passez dans les rues d'Engoulvent, des Marissons, Motte et allez jusqu'à la place Aristide Briand. Puis, avant de vous engager sur le quai Belu, traversez la Somme sur le pont de la Dodane pour aller voir la place du Don et faire un petit tour dans les pittoresques rues du Don et du Hocquet.
Rue du Hocquet
Situé à l'extrémité est du Quai Belu, le pont du Cange (1419) est un des derniers vestiges médiévaux d'Amiens. Après avoir traversé le boulevard du Cange, un passage vous amène vers une grande passerelle pour franchir un bras de la Somme et rejoindre le chemin de halage. Suivez-le jusqu'au pont suivant, le pont Beauvillé, qui marque l'entrée d'un endroit exceptionnel :
La première trace écrite de leur existence remonte au 12e siècle. Les marais ont été façonnés par des générations de tourbiers* puis de maraîchers.
Situés près du centre-ville, les hortillonnages sont de petites parcelles de terre bordées par un dédale de 65 kilomètres de petits canaux qu'on surnomme aussi "rieux" ou "fossés" en picard. Dans les années 70, cet endroit a bien failli disparaître au profit de la construction d'une voie rapide qui devait traverser les lieux. Une association a réussi à faire abandonner le projet et, aujourd'hui, ce site de 300 hectares traversé par la Somme est devenu un des lieux les plus emblématiques de la ville d'Amiens.
Un peu moins d'une dizaine de maraîchers (ou "hortillons" du latin "horteus" qui signifie petit jardin) y produisent encore des légumes qu'ils vont vendre chaque samedi au marché de la place Parmentier. Cependant, une fois par an, ils font revivre la tradition en organisant un marché flottant avec leurs barques à cornet dans le quartier Saint-Leu.
* La tourbe était un combustible végétal.
Comment visiter les hortillonnages ?
Vous pouvez choisir une visite guidée sur une barque traditionnelle, une découverte libre en louant une barque ou bien marcher le long du chemin de halage.
- La visite guidée (uniquement de mars à octobre)
Elle dure environ 45 minutes (attention, il peut y avoir beaucoup de monde et donc de l'attente). Pour trouver l'embarcadère des barques à cornet, il faut tourner à gauche après être passé sous le pont Beauvillé pour rejoindre le boulevard éponyme et continuer tout droit jusqu'à la Maison des Hortillonnages qui est à 150 m.
Pour plus d'informations sur les dates, horaires et tarifs, cliquez ici
- La découverte libre (uniquement du 15 mars au 15 octobre)
Du 15 mars au 15 octobre, vous pouvez louer une barque et faire une balade de 45 minutes au cœur des hortillonnages. C'est mon coup de cœur ! Pour cela, il faut vous rendre au café restaurant "Ô Jardin". Il se trouve à 500 m en amont du pont Beauvillé, le long chemin de halage, au n°57. Pour la location (attention, car il peut y avoir de l'affluence et il n'y a pas beaucoup de barques), soyez muni d'une pièce d'identité, d'un portable chargé car vous pouvez vous perdre dans ce véritable dédale de canaux. Le loueur vous donne bien un plan, mais il est vraiment trop succinct ..... Sachez aussi qu'il y a un peu de courant sur une partie du parcours. A vos rames, prêt, partez.
- Marcher le long du chemin de halage
En continuant au-delà de la guiguette "Ô Jardin", vous pouvez marcher sur une distance de 1,5 km pour atteindre le lieu-dit "L'Ile Robinson" situé entre un étang et la Somme. Au cours de la promenade bucolique, vous verrez quelques jolies passerelles mais peu de canaux.
Pour revenir à la gare SNCF, retournez au pont Ribeauvillé puis traversez la Somme pour remonter le très large boulevard Alsace Lorraine en direction de la tour Auguste Perret.
A FAIRE SI VOUS AVEZ DU TEMPS
Le musée d'art et d'archéologie de Picardie (2 rue Puvis de Chavannes)
Etabli dans un bâtiment du second empire, il abrite de nombreux tableaux mais aussi des salles consacrées aux fouilles archéologiques (petite Vénus de Renancourt), à la sculpture du Moyen Age, etc .... On peut même y voir une momie, celle d'une femme égyptienne datant de 664 avant J.-C. !
Pour plus d'informations, cliquez ici
L'Hôtel de Berny (ancien musée d'art local actuellement fermé) :
Sis au n°36 de la rue Victor Hugo, c'est l'ancien hôtel des trésoriers de France qui date de 1634.
Le jardin des plantes (n°60 boulevard Jardin des Plantes)
D'une superficie d'un hectare et inauguré en 1751, il obtient le label "jardin remarquable" en 2013.
Le jardin archéologique de Saint-Acheul (10 rue Raymond Gourdain)
C'est un lieu pour les passionnés de la préhistoire car, au cours du 19e siècle, c'est ici qu'on a retrouvé une grande quantité de silex taillés bifaces. Ceux-ci ont donné leur nom à une période du paléolithique inférieur appelée "acheuléenne" apparue en France de 700 000 ans à 300 000 ans avant J.- C..
DES SPECIALITES PICARDES A DEGUSTER
- La ficelle picarde
- Le macaron d'Amiens : on les trouve dans la boutique Jean Trogneux sise au 1 rue Delambre
- Le gâteau battu
Bonne visite
Vous retrouverez cet article dans la publication suivante où d'autres idées de sortie à la journée sont proposées :
Balades autour de Paris avec le train
Et pour ceux qui ont vraiment le temps, à 70 kilomètres à l'est d'Amiens, il y a la baie de Somme à découvrir :
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Le musée d'art et d'archéologie de Picardie (2 rue Puvis de Chavannes)
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Tour de la baie de Somme à vélo - Le blog d'Hunza : mon carnet de voyages en France et à l'étranger
Depuis le 3 juin 2011, le label Grand Site de France a été attribué à toute la partie de la côte d'Opale qui, en Picardie, s'étend de la baie d'Authie, au nord, jusqu'aux falaises d'Ault, au ...
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