Nice, les lieux incontournables à visiter

Découverte par les Anglais au 18ème siècle pour la douceur de son climat l'hiver, Nice est devenue peu à peu une destination touristique de renommée mondiale. Située le long de la magnifique baie des Anges, adossée à la montagne et voisine de l'Italie, la ville offre un dépaysement certain pour qui aime le soleil, les beaux paysages, sans oublier la culture. Et puis, Nice c'est aussi un passé, celui des Etats de Savoie avec sa capitale Turin qui a inspiré son architecture, car elle n'est rattachée que depuis 1860 à la France ! Alors oui, "Nissa la bella" est plus qu'un slogan marketing, c'est une invitation au voyage que vous ne regretterez pas. 

Comment venir à Nice :

• En train (compter environ 5h40 à 6h00 de temps de trajet en TGV au départ de Paris pour une distance de 930 km) : 

Pour les horaires de trains, cliquez ici

• En bus :

Depuis la loi Macron de 2015 sur la libéralisation du voyage en autocar longue distance, des opérateurs ont ouvert des lignes de bus à bas coût qui desservent Nice :

Pour plus d’informations sur Flixbus, cliquez ici

Pour plus d’informations sur BlaBlaCar Bus, cliquez ici

Pour se déplacer, on peut aussi utiliser le covoiturage :  https://www.blablacar.fr/

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Pour utiliser Omio, cliquez ici

Cartes de la ville 

Les bureaux d'accueil de l'office du tourisme se trouvent près de la gare SNCF sur l'avenue Thiers ou bien au n°5 de la Promenade des Anglais. 

Pour consulter le dépliant sur Nice distribué par l'office du tourisme, cliquez ici

Pour consulter le plan de Nice sur OpenStreetMap, cliquez ici

Pour afficher Nice et ses environs sur le site GEOPORTAIL, cliquez ici

Météo :

Pour la consulter, cliquez ici

Se déplacer dans Nice :

Les transports en commun de la métropole niçoise sont assurées par une régie sous le nom commercial de Ligne d'Azur.

Pour plus d'informations sur les lignes, les horaires et les prix des tickets, cliquez ici

Bon à savoir :

Pensez à la "French Riviera Pass" proposé par l'office du tourisme qui comprend l'accès aux musées et au transport gratuit.

Pour plus d'informations, cliquez ici

Brève histoire de Nice

Pour lire mon article de blog consacré au passé de la ville, cliquez ici

Visite de Nice
(342 600 habitants)
Labellisée ville d'art et d'histoire en 2019 

La loi du 4 août 1962 (loi Malraux) a été utilisée par la municipalité pour mettre en place un secteur sauvegardé* qui permettait de sauver et de mettre en valeur le patrimoine bâti historique tout en l'adaptant aux évolutions de la vie contemporaine. 

En 1969 et agrandi en 1985, il a d'abord concerné le Vieux Nice (25 hectares) qui était devenu un secteur insalubre dans les années 60, puis il a été étendu au quartier du port en 1994 (10 hectares supplémentaires).

* En application d'une loi du 7 juillet 2016, le terme de "secteur sauvegardé" a été remplacé par celui de "Site Patrimonial Remarquable". 

Le Vieux Nice :

Situé au pied de la colline du château, il est délimité à l'ouest par la promenade du Paillon, au nord par la place Garibaldi et au sud par la mer. C'est un entrelacs de ruelles bordées de maisons hautes aux façades arborant des couleurs rouges, ocres, roses, parfois bleues ou vertes, etc ....

A observer : certains volets sont assez particuliers car ils sont équipés de "portissols" dans leur partie basse qui, quand ils sont soulevés, permettent de faire entrer la lumière et laisser passer l'air.

Rue Barelleri

Rue Pairolière

Rue Benoît Bunico

A voir en partant de la place Garibaldi vers le cours Saleya :

- La tour Saint-François (rue de la Tour) :

C'est un vestige du couvent des Franciscains fondé vers 1250. La tour actuelle date de de 1723 et elle a été surmontée d'un étage pour y installer une horloge en 1837. Haute de 50 m, on peut y monter (288 marches) pour profiter d'un splendide panorama sur la ville.

Pour plus d'information, cliquez ici

- La maison de la Treille (angle des rues Saint-Augustin et François Zanin) :

- Le palais communal (place Saint-François) :

Bâti entre 1573 et 1583 dans le style "turinois", c'est l'Ancien hôtel de Ville.

- L'église du Gésu (n°34 de la rue Droite) :

C'est la première église baroque construite à Nice entre 1607 et 1650 par les jésuites, installés à Nice en 1606. La façade de l'édifice date du 19e siècle.

 - le palais Lascaris (n°15 de la rue Droite) :

Construit entre 1648 et le début du 18e siècle, c'est une ancienne demeure aristocratique à la façade de style baroque d’inspiration génoise. Il a été racheté par la ville en 1942 et transformé en un musée dans lequel on peut voir, outre les appartements richement décorés, des instruments anciens de musique.

Pour plus d'informations, cliquez ici

Le palais Lascaris

A savoir : à l'angle des rues Droite et des Loges, vous pouvez voir un boulet turc fiché dans le mur, témoin du terrible siège que subit la ville en 1543.

- la place Rossetti : elle a été aménagée en 1825 et a permis de mettre en valeur la cathédrale. Bordée de bars et de restaurants, le célèbre glacier "Fenocchio" y a sa plus grande boutique.

- la cathédrale Sainte-Réparate :

Lorsque la ville haute a été remplacée par une citadelle au 16ème siècle, c'est l'église Sainte-Marie, dans la ville basse, qui a été choisie pour la remplacer. Elle a donc été reconstruite à partir de 1651 et consacrée le 3 mai 1699. Le campanile a été élevée entre 1755 et 1757 et la façade a été refaite entre 1825 et 1830 dans un style baroque. La coupole atteint 38 m de hauteur et elle est recouverte de tuiles polychromes à la mode génoise.

A l'intérieur, l'ornementation est très riche.

Place Rossetti et cathédrale Sainte-Séparate

Place Rossetti 

- la tour de l'Horloge (place du Palais de Justice) :

Elle a été érigée entre 1718 et 1825. A côté se trouve l'ancienne caserne Rusca datant de 1776 qui est devenue une annexe du palais de justice (1885) qui se trouve juste en face.

- l'église Notre Dame de l'Annonciation - Sainte-Rita (n°1 rue de la Poissonnerie) :

Ce sont les Carmes qui l'on faite reconstruire au 17e siècle et l'intérieur est entièrement décoré dans le style baroque.

Chapelle de la Madone du Mont Carmel avec une Vierge à l'enfant (1760 -1771)

- la maison Adam et Eve (n°8 rue de la Poissonnerie) : sa façade présente un curieux décor dit en "sgraffito" qui est une technique médiévale de sculpture dans le mortier et qui est daté de l'année 1584.

- le cours Saleya (près de la mer) où se tient le marché tous les jours, de 6h00 à 13h00 sauf les lundis, les dimanches après-midi et les jours fériés. 

- la chapelle de la Miséricorde (cours Saleya) terminée de construire en 1786. Il faut absolument voir l'intérieur pour la richesse de son ornementation baroque mais, malheureusement, elle n'est ouverte que le mardi après-midi ainsi que le dimanche matin dans le cadre de la messe. Elle est la propriété des Pénitents noirs qui est une confrérie chargée, entre autres de l'organisation des funérailles.

Pour une participation de 2 euros par personne, on peut accéder à la sacristie qui renferme un retable de Louis Bréa.

Juste à côté, au fond de la place Pierre Gauthier, s'élève l'ancien palais des ducs de Savoie puis des rois du Piémont-Sardaigne. C'est en 1614 que sa construction a été terminée.

Du cours Saleya, on peut se rendre au pied de la colline du château en longeant le quai des Etats Unis bordé, d'un côté, par les anciennes terrasses suréelvées des Ponchettes inaugurées à partir du 18ème siècle suite à l'arasement des remparts et la construction de magasins d'un étage, et, de l'autre côté, par la plage des Ponchettes qui servait de port.

La colline du Château (92,755 m d'altitude) :

On peut y accéder en empruntant un ascenseur gratuit dont l'accès est situé à l'extrémité "est" du quai des Etats Unis.

C'est la partie la plus ancienne de Nice puisqu'elle a été habitée jusqu'au 16ème siècle. C'est l'épisode du terrible siège franco-turc en 1543 qui décida de déplacer la ville haute vers la ville basse, qu'on appelle de nos jours le Vieux Nice, pour la remplacer par une citadelle fortifiée qui sera démantelée en 1705, sur ordre du roi Louis XIV.

Dans le parc aménagé à son sommet à partir de 1822, on peut apercevoir les vestiges de la ville médiévale dont la cathédrale. 

C'est depuis le sommet de la colline du château que, tous les jours à midi, est tiré un puissant coup de canon depuis 1861.

La cascade (sa mise en eau date du 27 juin 1885)

Promenade du Paillon

Inaugurée en 2013, la promenade du Paillon est une coulée verte longue de 1,2 km qui relie le Théâtre National de Nice à la mer en passant par la place Masséna et le jardin Albert 1er. Elle recouvre la rivière "Paillon" et sépare nettement le Vieux Nice des quartiers plus récents. Elle été dotée d'un beau miroir d'eau d'une surface de 2 800 m² et animé par 128 jets.

Côté théâtre, la place Garibaldi, anciennement place Royale, n'est pas loin. Elle a été aménagée entre 1782 et 1784, d'après les plans de l'architecte Spinelli. Elle était située à l'entrée de la route royale reliant Nice à Turin et, d'ailleurs, elle arbore un style architectural qui est la réplique de la place royale de la capitale piémontaise, avec des décors en trompe l’œil des façades. C'est en 1871 qu'on lui attribuera le nom de Garibaldi.

Lors de la construction de la ligne de tramway T1, on a retrouvé des vestiges de la porte Pairolière qui faisaient partie des fortifications du 14e siècle qui entouraient le Vieux Nice. Ils ont été préservés au sein d'une crypte archéologique de 2000 m² qu'il est possible de visiter sur réservation.

Pour plus d'informations sur la crypte, cliquez ici

Côté mer, la magnifique place Masséna a été réalisée entre 1832 et 1860 dans le style d'inspiration turinoise (c'est le modèle de la place Vittorio Veneto). Elle a été superbement rénovée en 2003. 

La promenade des Anglais

C'est un lieu incontournable de Nice long de 7 km qui relie le pied la colline du château à l'hippodrome depuis 1882. Au départ, c'est un révérend anglais, Law, qui eut l'idée de créer un chemin dédié à la promenade le long de la plage en 1821. Sa fréquentation connaissant un succès grandissant, il fut décidé de l'agrandir et de créer une chaussée et des trottoirs à partir des années 1850 et il y eut bien d'autres modernisations jusqu'à obtenir la promenade telle qu'on la connait. 

D'un côté, c'est la plage de galets* et la baie des Anges, de l'autre, certains immeubles sont des hôtels de renom tels le Negresco qui fut inauguré en janvier 1913 (450 chambres), le Royal inauguré en 1906, le West End qui fut le premier hôtel édifié le long de cette promenade en 1842, etc ....

* Il faut savoir que la plage de galets est artificielle car, chaque année, la municipalité est obligée de décharger des tonnes de pierres provenant des rivières du Paillon et du Var pour empêcher l'érosion. En effet, sans leur présence massive, il y aurait du sable que la mer aurait vite fait d'emporter. 

- la villa Massena (entre les hôtels Negresco et West End) :

L'édifice de style néoclassique édifiée entre 1898 et 1901 abrite un musée qui est consacré à l'histoire de la ville de Nice de 1860 (rattachement à la France) aux années 1930. 

Pour plus d'information, cliquez ici

- la villa Furtado-Heine (au n°61) qui fut la première villa construite sur le bord de mer en 1787.

Le quartier Cimiez (il a été aménagé à partir de 1884) :

Pour s'y rendre depuis le centre-ville, emprunter le bus de la ligne 5, direction Rimier Saint-Georges.

C'est sur la colline de Cimiez que se trouvait l’ancienne ville romaine. De nos jours, on y trouve :

- d'anciens superbes hôtels construits à la Belle Epoque (période allant des années 1870 à 1914) transformés en résidence le long du boulevard Cimiez :
- le Majestic : bâti entre 1906 et 1908, il comptait 400 chambres.
- l'Alhambra au n°46 : de style néo-mauresque, il a ouvert en 1901.
- le Riviera Palace (1889) au n°39.
- le Winter Palace (1900) au n°82
- le Palais Prince de Galles (1890) au n°53.
- le Regina : c'est l'ancien "Excelsior Regina Palace" inauguré en 1897 et où la reine Victoria séjourna de mars à avril de 1987 à 1899.
Depuis le bus, vous apercevrez leurs belles façades.

- le musée national Marc Chagall (descendre à l'arrêt "Musée Chagall")

On peut y voir les 17 peintures du "Message Biblique" illustrant la Genèse, l'Exode et le cantique des cantiques.

Pour plus d'informations, cliquez ici

En descendant à l'arrêt de bus "Arènes - Musée Matisse" qui est à côté de l'hôtel Regina, vous accédez aux :

- le musée archéologique

A l’intérieur, les objets retrouvés lors des fouilles réalisées sur le site de Cimiez sont présentés au rez de chaussée tandis qu'une très intéressante exposition permanente sur les rites funéraires des Romains est à voir au sous-sol.

A l'extérieur, le site des ruines romaines s'étend sur 2 hectares et correspond au quartier des thermes construits entre le 1er et le 3e siècle après J.-C.. C'est dans les thermes de l'ouest qui avaient été transformés en cathédrale qu'on peut voir un des plus anciens baptistères de France (5e siècle).

Pour plus d'informations, cliquez ici

A noter que l'accès aux vestiges de l'amphithéâtre est libre. D'ailleurs, il se trouve à l'entrée du jardin des arènes de Cimiez qui surplombe l'arrêt de bus. Edifié entre le 1er et le 2ème siècle, il pouvait contenir environ 4 000 spectateurs.

- musée Henri Matisse installé dans la villa des Arènes bâtie entre 1670 et 1685.

Pour plus d'information, cliquez ici

- monastère de Cimiez dont on peut visiter l'église, le cloître et les jardins.

C'est en 1546 que les Franciscains s'y sont installés. 

A l’extérieur, la façade de style néogothique a été rajoutée en 1842.

A l’intérieur de l’église, il y a deux retables attribués à Louis Bréa - la Piétà (1475) et la Crucifixion (1512) - et un à son frère Antoine, la Déposition de la Croix (1520). Sur les voûtes, les peintures murales datent du 19ème siècle.

Déposition de croix de Louis Bréa

Quant au jardin, il a été racheté par la ville au début du 20ème siècle et est ouvert au public après réaménagement en 1926.

Dans le cimetière du monastère, à gauche de l'église, sont enterrées les peintres Matisse et Dufy.

A voir aussi le château Valrose édifié en contrebas de Cimiez entre 1867 et 1870 pour le baron von Derwies qui était conseiller du tsar. Il  est devenu en 1965 le siège de l'université de Nice. Dans le parc, il y a une isba qui a été démontée à Odessa pour y être remontée à Nice.

- la cathédrale orthodoxe russe (derrière la gare SNCF de Nice Ville) :

La famille impériale russe ayant fait plusieurs voyages à Nice dans la seconde moitié du 19ème siècle, une communauté russe importante s'y est implantée et c'est la raison pour laquelle cette cathédrale, la plus grande en dehors de Russie, a été construite et inaugurée le 17 décembre 1912. Elle est propriété de la Russie. 

A savoir : il existe une autre église orthodoxe russe qui est plus ancienne (inauguré le 31 décembre 1853) et qui se trouve au n°6 de la rue Longchamp. Juste à côté, se trouve l'immeuble Garraci-Bensa qui présente une façade d'inspiration italienne ornementée à la fin du 19ème avec la technique du "sgraffito".

- Le musée des Beaux-Art Jules Chéret :

Il est installé dans une demeure construite pour une princesse ukrainienne en 1878 qui l'a revendue à un américain en 1883 et que la ville a fini par acquérir en 1925.

On peut s'y rendre en empruntant le Tramway ligne 2 et descendre à la station "Centre Universitaire Méditerranéen" (accès au musée par des escaliers).

Pour plus d'information sur le musée, cliquez ici

- Les bâtiments de style art-déco (période de l'entre deux guerres) :

Comme ils sont nombreux, en voici quelques-uns parmi les plus emblématiques de Nice :

- l'église Sainte-Jeanne d'Arc au n°86 de l'avenue Saint-Lambert
- le palais de la Méditerranée au n°9 de la Promenade des Anglais) construit en 1929

- la poste Thiers au n°21 de l'avenue Thiers
- l’église Notre-Dame Auxiliatrice au n°36 de la place Don Bosco : à voir pour sa décoration intérieure en plus de sa structure étonnante.
- la villa Gloria Mansions (bâtie entre 1932 et 1934) sise aux n°123 - 125 de la rue de France.
- La Rotonde au n°41 du boulevard Gambetta
- le Palais Juliette (1927) au n°68 de l'avenue Bieckert
- la Pergola (1924-26) avec sa mosaïque et ses fresques sise au croisement des rues Verdi et Guiglia, etc ... 

Le port de Nice (port Lympia) : il se trouve de l'autre côté de la colline du château et est accessible avec le tram T2.

Il est aménagé dans une zone marécageuse à partir de 1749 et un nouveau quartier va sortir de terre avec des immeubles de style d'inspiration turinoise.

Auparavant, Nice ne disposait pas de port et les bateaux mouillaient dans l'anse ou étaient hissés sur la plage des Ponchettes. 

Aujourd'hui, c'est un port d’embarquement pour la Corse mais aussi un port de passage pour les bateaux de croisière.

On peut y voir des pointus qui sont des barques traditionnelles de pêche vieilles d'un siècle. Leur surnom vient du fait que la proue et la poupe sont pointues pour mieux affronter les vagues de la Méditerranée. Il resterait environ 80 bateaux de ce type.

L'été, une navette maritime gratuite permet d'éviter de faire le tour du port.

Pour plus d'informations sur la navette, cliquez ici

Le sentier littoral :

Dans le prolongement du port, remarquer sur la droite le plongeoir sur un îlot rocheux qui est intégré à un restaurant de renom "La Réserve". En suivant le boulevard Franck Pilatte, on peut accéder à de petites criques où se baigner. En continuant jusqu'au jardin Felix Raynaud, on trouve un escalier qui descend vers la mer et la "plage" de Coco beach et permet de suivre un sentier littoral jusqu'au cap de Nice puis de rejoindre le boulevard Maeterlinck en montant une série de petits escaliers et un total 250 marches. De là, on peut soit poursuivre à pied vers le Mont Boron pour profiter d'un panorama exceptionnel sur la baie des Anges, soit continuer sur 800 m le boulevard Maeterlinck pour retrouver le sentier du littoral qui vous mène à Villefranche sur Mer, soit revenir vers Nice en empruntant le bus.

Le mont-Boron :

C'est sur ses pentes qu'on peut voir la villa Beau Site (1887) et surtout la maison excentrique dite "château de l'Anglais" ou "villa Smith" construite en 1856 et 1858 dans un style indien évoquant le style moghol. Mais aussi et surtout, on peut s'y balader en profitant des chemins tracés dans la forêt et monter jusqu'au fort de Saint-Alban (223 m d'altitude) qui faisait partie des gros travaux entrepris après le siège des franco-ottomans de 1543 pour renforcer la défense de Nice.

Et puis, comment parler de Nice sans évoquer le carnaval. Son existence a été mentionné en ... 1294 mais celui que nous connaissons existe depuis 1873. Il est devenu le plus important de France et, chaque année, il se déroule au mois de février durant 2 semaines.

Pour connaitre le programme du carnaval, cliquez ici

Bonne visite

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