Visiter Angers en une journée

Capitale de l’Anjou, Angers, qui est traversée par la rivière la Maine, fait partie du Val de Loire qui est classé au patrimoine mondial de l'Unesco. C'est d'ailleurs ici qu'on peut voir un des plus beaux châteaux datant du Moyen Age, une tapisserie médiévale exceptionnelle, un portail de cathédrale ayant conservé de très nombreuses traces de polychromie, une des plus belles maisons à pan de bois de France, etc ....  Mais Angers, ce n'est pas que cela ! C'est aussi une des villes qui, au travers de diverses enquêtes d'opinion, est souvent classée parmi les endroits où il fait bon vivre. Alors, si vous ne connaissez pas Angers, n'hésitez pas à venir la visiter pour une journée ou le temps d'un week-end.

Au sommaire de cet article :
- des conseils pratiques pour vous aider à préparer votre visite
- l'histoire en résumé de la ville
- la visite d'Angers
      - les incontournables à voir en une journée
               - la vieille ville (rive gauche de La Maine)
               - le quartier de la Doutre (rive droite de La Maine)
      - ce qu'il reste à voir si vous avez du temps 

Comment venir à Angers

•  En train (1h25 environ de temps trajet en TGV depuis Paris Montparnasse pour une distance de 300 km) :

Pour les horaires, cliquez ici

•  En bus :

Depuis la loi Macron de 2015 sur la libéralisation du voyage en autocar longue distance, des opérateurs ont ouvert des lignes de bus à bas coût qui desservent Angers :

Pour plus d’informations sur Flixbus, cliquez ici

Pour plus d’informations sur BlablaCar Bus, cliquez ici

Pour se déplacer, on peut aussi utiliser le covoiturage : https://www.blablacar.fr/

Avec le comparateur de trajets OMIO, vous avez la possibilité de trouver tous les horaires, les trajets les plus rapides et comparer les meilleurs prix parmi plusieurs centaines de compagnies de transport :

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Cartes de la ville 

L'office de tourisme se trouve à proximité du château, au n°7 de la place du Président Kennedy (600 m à pied de la gare SNCF).

Pour consulter le plan du centre-ville distribué par l'office de tourisme, cliquez ici

Pour consulter le plan d'Angers sur OpenStreetMap, cliquez ici

Pour afficher Angers et ses environs sur le site GEOPORTAIL, cliquez ici

Les musées

Hormis le château, ils sont tous fermés le lundi.

Se déplacer dans Angers

Sachez que la ville n'est pas si grande et que tout peut se faire à pied. Néanmoins, les transports en commun angevins (tramways et bus) peuvent être une alternative si vous avez un coup de fatigue !

Pour plus d’informations, cliquez ici

Météo

Pour la consulter, cliquez ici

Où dormir ?

Voici une adresse qui sort de l'ordinaire, celle de l'Oisellerie, qui propose 6 chambres à l'intérieur d'une maison du 16e siècle dans le centre-ville, derrière la cathédrale. 

Pour plus d'informations, cliquez ici

Où boire et manger ?

La place du Ralliement concentre beaucoup de bars et restaurants. Parmi ces derniers, il y a celui du vainqueur de l'émission "Top Chef" 2019, les Petits Prés. 
Quant à prendre un verre, pensez aussi au port fluvial d'Angers, à la cale de la Savatte. Vous y profiterez d'une belle vue sur la Maine et le château.

Le territoire est occupé par la tribu gauloise des Andecaves.

A partir de - 51 av J.-C., les Romains vont transformer la cité gauloise d'Andecavorum en une ville opulente du nom de "Juliomagus" (marché de Jules) qui profite de la voie navigable du Maine entre la Loire et la Sarthe.

- fin du 3e - début du 4e siècle après J.-C. : construction d'une enceinte longue de 1 250 m pour protéger des invasions barbares la ville réduite à une superficie de 10 hectares alors qu'elle en comptait 80.

873 : la ville est assiégée par les Vikings. 

A partir de 920, à la suite à l'affaiblissement du pouvoir carolingien, le comté d'Anjou devient quasiment indépendant.

- Foulques Nerra, comte d’Anjou de 987 à 1040.

- 1128 : mariage de Geoffroy Plantagenêt, comte d’Anjou et du Maine, avec Mathilde, la petite-fille de Guillaume le Conquérant, héritière du royaume d’Angleterre et du duché de Normandie. De leur union, naquit Henri II.

- Mai 1152 : Henri II Plantagenêt épouse Aliénor d'Aquitaine; c'est le début de l'empire des Plantagenêt.

- 1154 : Henri II Plantagenêt devient roi d'Angleterre.

- 1202 : le roi de France, Philippe Auguste, prononce la confiscation des biens continentaux de Jean sans Terre dont fait partie l'Anjou.

- 1230 : début de la construction d'une impressionnante forteresse pour protéger le royaume contre les Bretons alliés aux Anglais. En effet, le duc de Bretagne Pierre Mauclerc et d'autres barons contestent la régence exercée par Blanche de Castille, mère du futur Saint-Louis.

- 1259 : signature du traité de Paris qui officialise, après 10 années de guerre, la mainmise du roi de France sur l'Anjou.

- 1434-1480 : règne du bien roi René, duc d'Anjou et de Lorraine, comte de Provence, roi de Naples de Sicile et de Jérusalem.

- 1807 : Napoléon autorise la démolition des remparts de la ville.

- 1849 : arrivée du chemin de fer.

- 1944 : les bombardements des alliés causèrent la mort de 360 habitants d'Angers. 

- 30 novembre 2000 : le Val de Loire auquel est rattaché la ville d’Angers est classée au patrimoine mondial de l'humanité par l’Unesco, au titre des paysages culturels.

Angers est une ville de 157 160 habitants environ en 2021
Ville d'art et d'histoire depuis 1986

En 2019, le périmètre du "site patrimonial remarquable" (appellation qui remplace celle du "secteur sauvegardé" initié par la loi Malraux de 1962) a été acté par l'Etat. Cela permet, entre autres, de sauver et de mettre en valeur le patrimoine bâti historique tout en l'adaptant aux évolutions de la vie contemporaine. Son étendue concerne 1 600 hectares dont 1 160 hectares d'espaces verts. La quarantaine de maisons à pans de bois encore visibles à Angers en fait donc partie.

A l'origine, la cité est construite sur le promontoire rocheux qui surplombe la Maine car, d'une part, elle est plus facilement défendable et, d'autre part, elle est à l'abri des crues. Ce n'est qu'à partir du 11e siècle qu'un nouveau quartier, celui de la Doutre, va se construire sur la rive opposée, en face de la vieille ville.

LES INCONTOURNABLES A VOIR EN UNE JOURNEE

Le château :

A la demande de Blanche de Castille et de son fils Louis IX, le futur Saint-Louis, la forteresse a été construite à partir de 1230 . Les matériaux utilisés furent le schiste et le calcaire. On compte 17 tours ornées de lignes de pierre mais, seule la tour du Moulin a conservé sa hauteur d'origine, les autres ayant été arasées sur ordre du roi Henri III durant les guerres de religion afin de les transformer en plateformes pour y installer des pièces d'artillerie.

La porte des Champs était l'entrée principale du château avec un pont-levis qui a disparu, alors que, de nos jours, les visiteurs passent par la porte de Ville qui, à l'époque, était une entrée secondaire.

Dans la cour du château, on peut voir la chapelle royale (début 15e siècle) et le logis royal que fit édifier le roi René entre 1435 et 1440.

Plus tard, la forteresse a servi de prison et c'est d'ailleurs ici que Nicolas Fouquet fut enfermé. 

Dans les fossés secs, un jardin à la française a été aménagé.

La tapisserie de l’Apocalypse : 

Exposée au public depuis 1954 dans un bâtiment spécialement construit pour l'abriter, c'est la plus longue tapisserie de l'époque médiévale conservée au monde. Elle mesure 103 mètres de long et 4,50 m de haut (à l'origine, ses dimensions étaient de 140 mètres de long et 6 m de haut).

Elle a été commandée en 1375 par le duc d'Anjou Louis Ier. Réalisée avec de la laine par des artisans liciers, elle a été achevée en 1382. Au 15e siècle, le roi René la lègue aux chanoines de la cathédrale d'Angers. A la Révolution française, elle fut mise en vente d'où la disparition de certains panneaux de la tapisserie.

Tout en s'inspirant du contexte de l'époque, elle représente les scènes illustrant les visions apocalyptiques de l'apôtre Saint-Jean. Dernier texte de la Bible, l'Apocalypse signifie « révélation ».

Le 18 mai 2023, elle a été inscrite au registre "Mémoire du monde" par l'Unesco.

Pour toutes les d’informations sur la visite du château, cliquez ici

Du château, on peut se rendre à la cathédrale en empruntant la pittoresque rue Saint-Aignan qui permet d'accéder à la "Montée Saint-Maurice".

Au n°17, on passe devant la maison dite du chapelain de Landemore qui est la plus ancienne demeure à pans de bois d'Angers qui date de 1399-1400.

Rue Saint-Aignan, la maison de "La Tour" appelée aussi "Logis du Croissant" (seconde moitié du 15e siècle)

La cathédrale Saint-Maurice

Elle a été édifiée entre le 11e et le 13e siècle et mélange les styles roman et gothique dit "angevin" caractérisé par la présence de voûtes bombées et d'ogives.

Quelques chiffres : 90,50 m de long, 25 m de hauteur sous la voûte de la nef et 44 m de longueur du transept.

A l’extérieur, les tours du 12e siècle sont surmontées par des flèches du 15e siècle, hautes de 70 m pour celle du nord et 74 m pour celle du sud, tandis que la tour centrale (lanternon) a été élevée plus tardivement, au 16e siècle. Quant au portail occidental (milieu du 12e siècle), il a conservé d'importantes traces de polychromies datant de l'époque de sa construction mais aussi du 17e siècle, période durant laquelle il a été entièrement repeint.  

A voir à l'intérieur :
- les vitraux dont certains sont du 12e siècle (nef), du 13e (chœur) et du 15e siècle (les deux rosaces).
- la chaire ouvragée qui a été sculptée en 3 ans par l'abbé Choyer qui l'a achevée en 1855.
- les boiseries du chœur (18e siècle) qui cachent des fresques murales du 15e siècle
- les tapisseries du 18e siècle
- le buffet d'orgue qui est supporté par des atlantes datant de 1747; quant à l'orgue, il a été restauré par Cavaillé-Coll à la fin du 19e siècle.

La Montée Saint-Maurice et la cathédrale

Vitraux du 12e siècle situés dans le côté nord de la nef
A gauche, le martyre de Sainte Catherine d'Alexandrie et, à droite, la dormition et l'assomption de la Vierge Marie

Orgue de la cathédrale d'Angers

Détail de la chaire sculptée

A côté de la cathédrale se trouve l'ancien palais épiscopal dont une aile du bâtiment, de style roman, a été construite au 12e siècle. L'autre partie, de style néo-roman, a été rajoutée au 19e siècle.

Des visites guidées y sont organisées de temps en temps.

Pour connaitre les dates, cliquez ici

En face du palais, dans la rue de l'Oisellerie, il y a 3 maisons à pans de bois dont fait partie celle qui a été transformé en hôtel (voir plus haut).

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En remontant la rue Montault, on parvient à la place Sainte Croix où se trouve :

La maison Adam

Elle est également dénommée Maison d’Adam et d’Eve ou de l’Arbre de Vie. Elle aurait été construite en 1491. Elle est richement décorée et, parmi les sculptures en bois à caractère religieux et profane, il y a un personnage bien étonnant surnommé "Le Tricouillard". Je vous laisse deviner pourquoi !

Maison d'Adam

La galerie David d'Angers

En suivant la rue Toussaint, on arrive à l'emplacement de ce qui fut l’ancienne abbaye Toussaint. De nos jours, il reste l'abbatiale du 13e siècle qui a été superbement restaurée dans les années 80 pour y installer toutes les œuvres que le sculpteur angevin du 19e siècle, Pierre Jean David, avait léguée à la ville. 

Pour plus d’informations, cliquez ici

Une partie du cloître a aussi été conservée et, contrairement à l'abbatiale, il est accessible gratuitement car il a été intégré au jardin public des Beaux-Arts.

Le musée des Beaux-Arts

Installé dans un hôtel particulier édifié entre 1486 et 1493, le Logis Barrault, le musée est composé d'une partie consacrée à l'histoire de la ville d'Angers et d'une autre partie dans laquelle sont exposés des sculptures et des tableaux dont certains sont signés Boucher, Fragonard, Watteau, Ingres, Corot, etc....

Devant le musée, sur la terrasse côté jardin, on peut voir une œuvre de la plasticienne Niki de Saint-Phalle, "L’Arbre-serpents".

Pour plus d’informations, cliquez ici

Tour d'escalier du Logis Barrault

Sur la place qui permet d'accéder au musée des Beaux-Arts, s'élève :

La tour Saint-Aubin

C'est une tour-clocher, haute de 54 m, qui est un vestige de l'abbatiale éponyme aujourd'hui disparue. Bâtie au 12e siècle, elle a servi aussi de tour de guet au Moyen Age.

Place Saint-Eloi

De l'autre côté de la tour-clocher, on peut s'avancer devant les grilles de la préfecture du Maine et Loire pour voir le cloître et les bâtiments conventuels de l'abbaye qui ont été reconstruits entre 1688 et 1737.

L’Eglise Saint-Martin :

C'est la plus ancienne église d’Angers et l’un des monuments carolingiens les mieux conservés de France. En effet, la tour-clocher et les arcs bicolores à la croisée du transept datent du 10ème siècle.  

A voir à l’intérieur : ses chapiteaux et sculptures romanes, son chœur gothique et sa crypte avec ses sarcophages de l'époque mérovingienne.

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C'est le quartier qui se trouve sur la rive droite de la Maine, en face du vieil Angers. C'était une zone de marécages avant que Foulques de Nerra ne décide d'y fonder l'abbaye de Ronceray au 11e siècle. De nos jours, il recèle un intérêt touristique évident pour les raisons suivantes :

- la vue sur la forteresse, les remparts, la cathédrale, etc ... depuis les quais; on peut aussi prendre de la hauteur en accédant à la terrasse du théâtre "le Quai" en empruntant un ascenseur libre d'accès (fermé le lundi).

- les maisons à pan de bois qui se trouvent majoritairement dans la rue Beaurepaire.

- l'abbaye de Ronceray dont une partie de l'abbatiale avec sa tour-clocher du 11e siècle est imbriquée dans l'église de la Trinité. A voir, à l'intérieur, des chapiteaux historiés et des peintures murales du 13e siècle, mais, malheureusement, elle n'est ouverte que dans le cadre d'expositions .....

- l'église de la Trinité (12e siècle) : à voir à l'intérieur une piéta du 16e siècle (à droite de l'entrée) et une clef de voûte originale culminant à 23 m de hauteur dans la nef.

- L'hôtel des Pénitentes : sa construction débuta à la fin du 15e siècle (style gothique flamboyant) pour s'achever au 16e siècle. Il se visite rarement mais on le voit très bien depuis l'extérieur. Il se situe seulement à 200 m de l'église de la Trinité, en remontant le boulevard Descazaux jusqu'au n°23.

- la pittoresque place de la Paix autour de laquelle on peut voir des hôtels particuliers construits entre le 15e et le 17e siècle.

Cathédrale d'Angers

Eglise de la Trinité et, à gauche, la tour-clocher de l'abbaye de Ronceray

La maison de Simon Poisson (fin 16e siècle) au n°67 de la rue Beaurepaire

Le musée Jean-Lurçat et de la tapisserie contemporaine

Il est installé dans l’ancien hôpital Saint-Jean construit au 12e siècle et c'est dans la salle des malades de style gothique qu'on peut contempler les dix tapisseries réalisées par Jean Lurçat. Inspiré par la tenture de l'apocalypse qu'il a découverte en 1938, il a voulu donner sa propre vision du monde du 20e siècle. Fabriqué dans les ateliers de tapisserie à Aubusson, l'ensemble des panneaux s'étire sur 80 de long et chacun est haut de 4,4 m.

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A l'extérieur, dans le jardin, on peut aller voir les vestiges d'un cloitre et apercevoir l'ancien grenier à céréales datant du 12e siècle qui ne se visite pas.

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A VOIR SI VOUS AVEZ DU TEMPS

- Des vestiges des remparts gallo-romains

• la tour Villebon située entre les n°70 et 72 de la rue Baudrière
• la courtine le long de la rue Toussaint

Enceinte gallo-romaine surplombée par la maison canoniale Saint-Barthélemy (13e - 14e siècle)

- Le musée Pincé

Sis au n° 32 bis de la rue Lenepveu, ce musée a été aménagé dans un hôtel particulier bâti entre 1528 et 1535. On peut y découvrir une collection d'art ancien de l'antiquité grecque à l'Égypte antique en passant par la Chine et le Pérou.

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- dans le bas de la rue Saint-Laud, il y a quelques maisons à pan de bois.

- L'abbatiale Saint-Serge (elle est proche du jardin des Plantes)

Elle faisait partie d'une abbaye fondée en 654 et qui a été fermée lors de la Révolution française. Une partie des bâtiments conventuels reconstruits au 17e siècle, dans le cadre de la réforme mauriste, a été transformée en lycée en 1905. Quant à l'abbatiale, elle est devenue une église paroissiale en 1802.

Le chœur date de 1120-1135 et la nef de 1425-1466 car il a fallu la reconstruite après la guerre de Cent Ans. Le sacrarium qui abrite les reliques de Saint-Brieuc et Saint-Serge a été réalisé à la fin du 15e siècle.

- le Jardin des Plantes

Ce joli parc à l'anglaise de 4 hectares a ouvert au public en 1905. On peut y voir l'ancienne église Saint-Samson du 12e siècle qui, de nos jours, sert de lieu de réserve au jardin.

- La maison bleue (à l'angle de la rue d'Alsace et du boulevard du Maréchal Foch)

Achevé de construire en 1928, ce lieu d'habitation est un chef d'œuvre de l'art décoratif. A l'époque, c'était l'immeuble le plus haut d'Angers. Sa façade extérieure a été entièrement décorée par le mosaïste rennais, Théodore Odorico.

- Le CIAP (centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine)

Comme Angers est devenue une ville d'art et d'histoire, elle dispose désormais d'un lieu où l'évolution du patrimoine, de l'architecture et du cadre de vie est expliqué au public. Celui-ci se trouve dans un bâtiment qui borde le jardin des Beaux-Arts et qu'on surnomme "le Repaire Urbain". 

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A FAIRE SI VOUS AVEZ DU TEMPS

- un tour en gabare sur la Maine.

Il faut savoir que, par sa position géographique sur la Maine, à quelques kilomètres seulement de la Loire, Angers a été un port fluvial important jusqu'au 19ème siècle. Des bateaux transportant diverses marchandises allaient et venaient de Nantes. 

Bonne visite

Voir aussi mon article de blog sur Nantes en cliquant sur le lien suivant :

Visiter Nantes en une journée

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