Saint-Denis, les lieux incontournables à visiter
Vous ne connaissez pas Saint-Denis et vous avez décidé d’aller la découvrir ? Vous avez bien raison car la basilique de cette ville voisine de Paris est connue pour abriter l'ancienne nécropole royal. Mais, il n'y pas que ça et, pour que vous ne passiez pas à côté de l’essentiel, voici tous les lieux incontournables à visiter lors de votre venue dans la cité dyonésienne présentés dans cet article.
Au sommaire :
- Brève présentation de la ville
- Tout ce qu'il faut savoir pour préparer votre visite
- L'histoire en résumé de la ville
- Visite de la ville
- la basilique-cathédrale
- que voir d'autres à Saint-Denis ?
A quelques kilomètres de Paris, Saint-Denis possède un joyau qui, malheureusement, n'est que trop peu visité. Il s'agit de sa basilique qui est à la fois l'une des plus importantes nécropoles royales d'Europe mais aussi l'une des premières cathédrales gothiques de France. En effet, c'est ici, grâce à l'abbé Suger, que les vitraux colorés ont commencé à remplacer une grande partie des murs pour laisser passer la lumière, symbôle de la manifestation divine. Mais, de nos jours, venir à Saint-Denis rebute. Son image de ville désindustrialisée, pauvre et rongée par des problèmes sociaux lui colle à la peau. Et pourtant, c'est bien à Saint-Denis que le stade de France a été construit, que des épreuves des jeux olympiques de 2024 vont être organisées, et qu'un des projets architecturaux les plus étonnants de notre époque, celui du remontage de la flèche nord de la basilique, est sur le point de démarrer. Il faut donc passer outre certains clichés et ne pas hésiter à venir visiter ce qui fut un des hauts lieux de l'histoire de France.
Comment venir à Saint-Denis (6 km de Paris) :
- En train soit en empruntant soit la ligne D du RER qui traverse Paris, soit la ligne H qui part de la gare du Nord :
Pour les horaires des trains, cliquez ici
- En métro en empruntant la ligne 13
Pour plus d'informations, cliquez ici
A savoir : la basilique se trouve à 250 m de la station de métro "Basilique Saint-Denis" et à 1,2 km de la gare SNCF de Saint-Denis.
Cartes de la ville
L'office de tourisme de Saint-Denis se situe sur la place Jean Jaurès, à proximité de la basilique.
Pour consulter le plan de Saint-Denis distribué par l'office de tourisme, cliquez ici
Pour consulter le plan de Saint-Denis sur OpenStreetMap, cliquez ici
Pour afficher Saint-Denis et ses environs sur le site GEOPORTAIL, cliquez ici
Météo :
- Vers 250 (mais la période est discutée car il pourrait s'agir de la fin 1er siècle) : selon la légende, Saint-Denis, évangélisateur et premier évêque des Parisii, aurait été décapité par les Romains sur le Mont des Martyrs (Montmartre); conduit par un ange, il aurait porté sa tête sur une distance de 6 km pour aller mourir dans un champ appartenant à une gallo-romaine, Catulla.
Ce qui est certain, c'est que son corps a été inhumé dans un cimetière et que, par la suite, de nombreux aristocrates francs ont été enterrés auprès du corps du saint afin qu'il soit plus facile d'accéder au paradis. Lors de fouilles entreprises sous la basilique dans les années 1950, une cinquantaine de sarcophages ont été dégagés. Ils sont visibles dans la crypte et certains sont probablement royaux.
Crypte de la basilique de Saint-Denis avec, au 1er plan, la fosse supposée avoir contenu le corps du saint
- Vers 451 - 459 : Sainte-Geneviève fait construire une chapelle au-dessus de la tombe du saint.
C'est l'origine de ce qui va devenir l'une des plus grandes abbayes bénédictines d'Occident. Les pèlerins vont y affluer et la ville de Saint-Denis va peu à peu se développer tout autour.
- Vers 580 - 590 : la reine mérovingienne Arégonde est le premier personnage royal à se faire enterrer à Saint-Denis.
- Vers 629 - 639 : l'abbatiale reçoit le titre de basilique.
- 639 : Dagobert est le premier roi à se faire enterrer à Saint-Denis, transformant ainsi la basilique en nécropole royale. Durant son règne, il avait attribué de grandes largesses à l'abbaye.
- 27 juillet 754 : Pépin le Bref y est sacré ainsi que ses 2 fils, Carloman et le futur Charlemagne, par le pape Etienne II.
- 869 : Charles le Chauve fait ériger des remparts autour de l'abbaye pour la protéger des raids des Vikings.
A partir de l'an Mil, la présence de la grande foire du Lendit qui se déroule durant le mois de juin à La Plaine est attestée.
12 mars 1122 : Suger est élu abbé de Saint-Denis et c'est lui qui va être à l'origine de reconstruction de la basilique dans le style nouveau de l'époque, le gothique, dans lequel la lumière prédomine grâce à l'installation des vitraux.
C'est aussi le conseiller le plus influent des rois de France Louis VI et Louis VII et, pendant 2 ans, il est même régent du royaume (durant la croisade de Louis VII).
13e siècle : Saint-Louis décide que tous les souverains doivent être inhumés à Saint-Denis qui devient nécropole royale. Il fait commander 16 gisants pour les rois qui l'ont précédé, légitimant ainsi son pouvoir en s'inscrivant dans une lignée royale.
Au Moyen Age, il existait une sorte de concurrence entre l'abbaye de Saint-Denis qui était l'une des plus riches d'occident et l'évêché de Paris. Ainsi, la façade de la basilique Saint-Denis fut copiée en plus grandiose pour la construction de Notre Dame de Paris. Pour les tours, Saint-Denis a voulu surpasser Paris et, à la fin du 12ème siècle, la flèche construite au-dessus de la tour nord dépassait 80 m de hauteur.
1337 - 1453 : guerre de Cent Ans qui marque le début du déclin de l'abbaye.
1348 : épidémie de la peste noire.
10 novembre 1567 : bataille de Saint-Denis lors de laquelle les huguenots sont battus par les catholiques.
25 juillet 1593 : le roi Henri IV choisit d’abjurer le protestantisme dans la basilique de Saint-Denis.
1691 : l'abbaye de Saint-Denis en plein déclin est rattachée à celle de Saint-Germain-des-Prés.
Août puis octobre 1793 : les dépouilles royales sont retirées de leur cercueil en plomb pour récupérer la matière pour en faire des balles "républicaines" et sont jetées dans 2 fosses communes.
- 1806 : Napoléon, qui envisage de s'y faire enterrer, ordonne la restauration de la basilique qui est dans un piteux état car il n'y a plus de toiture, quasiment plus de vitraux, etc .... Il charge l'architecte François Debret de cette délicate opération.
21 janvier 1815 : le roi Louis XVIII fait transférer les cendres de Louis XVI et de Marie Antoinette du cimetière parisien de la Madeleine à Saint-Denis.
1817 : à la demande de Louis XVIII, les 2 fosses communes sont retrouvées et les restes des dépouilles royales en sont exhumées pour être placées dans un ossuaire.
1824 : inauguration du canal Saint-Denis.
1844 : arrivée du chemin de fer.
14 décembre 1895 : naissance à Saint-Denis de Paul Éluard.
A la fin du 19e siècle, Saint-Denis concentre la plus grande zone industrielle d'Europe (plaine Saint-Denis).
1966 : la basilique Saint-Denis est élevée au rang de cathédrale après la création du département de la Seine Saint-Denis.
28 janvier 1998 : inauguration du Stade de France à La Plaine.
1er janvier 2016 : Saint-Denis et 8 autre villes voisines intègrent l'Établissement public territorial (EPT) de Plaine Commune.
2024 : Saint-Denis va accueillir certaines épreuves des jeux olympiques.
(114 000 habitants en 2022)
Labellisée "Ville et Pays d'Art et d'Histoire" depuis 2014 dans le cadre de Plaine Commune
La basilique-cathédrale de Saint-Denis
Quelques chiffres : 108 m de long, 11 m de large (39 m au niveau du transept) et 29 m de hauteur.
Pour accéder au chœur et à la crypte où se trouve la nécropole royale, sachez qu'il vous faut payer un droit d'entrée.
Pour plus d'informations, cliquez ici
Brève histoire de la basilique
- 769 à 775 : l'abbé Fulrad fait reconstruire l'abbatiale qui est consacrée le 24 février 775.
- 832 : l'abbé Hilduin décide l'agrandissement de la basilique.
- 1135 : Suger décide de faire reconstruire une partie de la basilique devenue trop petite pour accueillir les pèlerins. Il fait élever la façade (1135-1140), qui est ornée pour la première fois dans l'histoire d'une rose, et le chevet (1140-1144) avec les vitraux du déambulatoire, tout en conservant la nef qui datait de l'époque carolingienne.
- 11 juin 1144 : le chœur "lumineux" et voûté d'ogives qui accueille le reliquaire de Saint-Denis est consacré en présence du roi Louis VII et de la reine.
Ainsi, Suger devient le précurseur de l'art gothique. Il veut bâtir la Jérusalem céleste et, pour cela, rien n'est trop beau pour glorifier Dieu.
Evider les murs pour y installer des vitraux, c'est faire rentrer la lumière dans l'édifice, lumière que le théologien Denys l'Aréopagite avait assimilé à la présence de Dieu.
La flèche nord qui culmine à 86 m est élevée entre 1190 et 1230. Quant à la tour sud, elle devait aussi être surmontée d'une flèche mais elle ne sera jamais édifiée.
Dès 1231, Saint-Louis participe financièrement à la reconstruction de l’abbatiale dans un style gothique flamboyant. La nef carolingienne est remplacée, un transept est édifié avec la réalisation d'une rose dans chaque bras et la configuration du chevet est reprise. Les travaux se terminent en 1281.
- 1837 : la foudre tombe sur la flèche de la tour nord. L'architecte François Debret en charge de la restauration de la basilique la fait consolider.
- 1845 : une tornade finit de fragiliser la tour nord et le démontage de la flèche débute le 6 mars 1846 afin de pouvoir consolider la tour.
- 14 novembre 1846 : Viollet le Duc remplace Debret qui a démissionné et prend la direction du chantier de restauration. Il abandonne le projet de remontage de la flèche nord.
Les portails de la façade occidentale (qui était peinte à l'époque)
Ils sont au nombre de trois, chiffre qui symbolise la Trinité.
Lors de la restauration entreprise au 19e siècle, les statues colonnes ont été retirées des ébrasements pour être remplacées par de simples colonnettes et les portails de gauche et de droite ont été considérablement remaniés.
- le portail central dit du "jugement dernier" est le mieux conservé des trois; son tympan représente le Christ qui est entouré des douze Apôtres.
Basilique Saint-Denis, voussures du portail central illustrant des scènes de l'enfer et, à droite, un des vingt-quatre vieillards de l’Apocalypse tenant un instrument de musique.
- le tympan du portail de gauche : il représente Denis et ses compagnons, Rustique et Eleuthère, qui sont conduits au supplice après avoir communié des mains du Christ lui-même.
Il a été refait au 19e siècle ainsi que les voussures du portail.
- le tympan du portail de droite représente la dernière communion de Saint-Denis, emprisonné avec deux autres saints. En arrière-plan, on distingue la prison avec le préfet romain qui ordonne le martyr de Denis.
Les piédroits, qui datent de l'époque de Suger, sont ornés de signes du zodiaque.
Le portail du bras nord du transept dit "Porte des Valois"
Lui aussi a été fortement restauré au 19e siècle, mais le tympan conserve l'essentiel de sa sculpture d'origine (époque de Suger) qui représente la décapitation de Saint-Denis. Quant aux piédroits, les statues colonnes sont celles des rois de l'Ancien testament.
Les vitraux :
Alors que la basilique était surnommée "la lanterne de Saint-Denis" tellement l'édifice était dédié à la lumière, il ne reste quasiment plus de vitraux car la plupart ont été détruits durant la Révolution pour récupérer le plomb et fabriquer des munitions ou bien ont été vendus. Certains ont donc échappé à la destruction mais, en raison de leur grande fragilité, ils ont été démontés et entreposés pour les protéger au laboratoire de recherche des monuments historiques à Champs sur Marne en 1997. Ils s'agit de ceux qui se trouvaient dans les chapelles rayonnantes qui bordent le double déambulatoire et qui dataient de l'époque de Suger (1140 - 1144). Ils ont été remplacés par des copies à l'identique. On peut voir ces dernières dans :
- la chapelle axiale de la Vierge dans laquelle se trouve une relique de Saint-Louis :
- l'Arbre de Jessé conservait 5 panneaux d'origine
- l'Enfance du Christ en avait 2 : l'annonciation et la nativité
Vitrail de l'Enfance du Christ
- la chapelle rayonnante Saint-Pérégrin.
- la vie de Moïse (verrière de gauche) conservait 5 panneaux d'origine
- allégories de Saint Paul (verrière de droite) en avait 2
- la chapelle rayonnante Saint-Cucuphas : le vitrail de la passion conservait 1 panneau d'origine
Quant à tous les autres vitraux (fenêtres hautes du chœur, du transept et de la nef) ainsi que ceux des rosaces, ils datent du 19ème siècle.
Vitraux du choeur de la basilique
La rose du transept nord, qui a servi de modèle à celle de Notre Dame de Paris, est antérieure à celle du sud et toutes les deux ont un diamètre de 12 m environ.
La crypte :
Suger se sert de l'ancienne crypte d'Huilduin dont les vestiges sont visibles dans le caveau des Bourbons pour l'agrandir et en faire l'assise du nouveau chœur. Ainsi, les sept chapelles rayonnantes de la crypte se retrouvent exactement en-dessous de celles qui bordent le double déambulatoire. Quant aux chapiteaux historiés dont certains sont liés à la vie de Saint Benoit, ils datent eux-aussi du 12e siècle.
La nécropole royale
Elle abrite les dépouilles de 42 rois, 32 reines, 60 princes et princesses et une dizaine de serviteurs des familles royales. Il y a aussi celles de Duguesclin et de Turenne qui n'étaient pas de sang royal.
C'est Saint-Louis qui est à l'origine des gisants car il voulait légitimer la dynastie des Capétiens. Il en a commandé 16 en pierre calcaire dont 2 ont disparu à la Révolution. Ils se ressemblent tous. Les rois sont idéalisés et vêtus à la mode du 13e siècle. Ils sont orientés vers l'est et ont les yeux ouverts car ils sont représentés dans l'attente de la résurrection. Ils étaient tous peints.
Après Saint-Louis, les gisants sont taillés dans du marbre, comme l'étaient les empereurs romains. Le premier portrait réel d'un roi est celui de Jean II et Charles V est le premier roi à être représenté de son vivant.
En tout, il y a environ 70 gisants. A partir du 16e siècle, on élève de grands tombeaux dans le style renaissance. Il y en a trois au total : François Ier - Claude de France, Louis XII - Anne de Bretagne et Henri II - Catherine de Médicis.
C'est dans la crypte que se trouve l'ossuaire dans lequel ont été rassemblés tous les ossements des corps exhumés en 1793 et qu'il était impossible d'identifier lorsqu'ils ont été retrouvés à la demande de Louis XVIII en 1817. Cela signifie que tous les tombeaux qui se trouvent dans le choeur sont vides et que ce sont des cénotaphes. Par contre, au centre de la crypte, les dalles noires funéraires abritent les dépouilles de Louis XVI et de son épouse Marie Antoinette ainsi que celle de Louis XVIII.
Tombeau de Dagobert
Tombeau de Louis XII et d’Anne de Bretagne
Au niveau inférieur, les statues des vertus cardinales dans les angles et celles des 12 apôtres entourant les transis qui sont les cadavres du roi et de la reine représentés de façon réaliste dans la mort. Au niveau supérieur, les souverains sont montrés en train de prier en direction de l'est.
Tombeau de Henri II et de Catherine de Médicis
Au niveau inférieur, les statues des vertus théologales dans les angles et les transis qui sont les cadavres du roi et de la reine représentés de façon réaliste dans la mort.
Au niveau supérieur, les souverains sont montrés en train de prier en direction de l'est.
A ne pas manquer :
- dans la nef : les stalles en chêne qui datent du début du 16e siècle et qui proviennent de la chapelle du château de Gaillon (Normandie).
- dans le chœur :
- le retable de l'Enfance du Christ (13e siècle) dans la chapelle axiale de la Vierge et une relique du roi Saint-Louis (un os de son poignet).
- le reliquaire contenant des ossements de Saint-Denis et de ses deux compagnons, Rustique et Eleuthère.
- la copie de l'oriflamme conservé à l'abbaye de Saint-Denis : il a été utilisé pour la première fois par le roi Louis VI sur le champ de bataille au cri de "Mont-joie Saint-Denis" (Protège nous Saint-Denis") pour apporter la victoire.
Vue générale de l’intérieur de la basilique
A voir aussi à Saint-Denis
- la maison d'éducation de la Légion d'honneur (elle jouxte la basilique)
Inaugurée en 1810, elle a été créée à la demande de Napoléon pour éduquer les filles des soldats ayant reçu la Légion d'Honneur. Il occupe les bâtiments de l'ancienne abbaye de Saint-Denis qui datent du début du 18ème siècle et dont les plans ont été réalisés par les architectes Robert de Cotte et Jacques Gabriel.
- l’ancien Carmel de Louise de France
Fondé en 1625, il accueille le musée d’Art et d’Histoire de Saint-Denis.
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- le Stade de France
Il est à 1,4 km à pied de la basilique de Saint-Denis
Pour s'y rendre depuis Paris, il faut emprunter la ligne B du RER et descendre à la gare de "La Plaine Stade de France". Des visites sont organisées quotidiennement dans ce beau stade qui peut accueillir :
75 000 personnes lors des meetings d'athlétisme grâce aux tribunes inférieures qui sont rétractables et qui permettent de découvrir la piste d'athlétisme.
80 000 personnes pour les matchs de football et de rugby.
100 000 personnes pour les grands concerts
La visite dure 1 heure et passe par le vestiaire de l'équipe de France qui n'est pas celui qu'elle occupait lors de la victoire en 1998 en coupe du monde de football ....Attention, l'entrée et chère ... et rien ne vaut l'ambiance d'un match.
- Des bâtiments :
- la maison des Arbalétriers (9 rue Auguste Blanqui) : elle servait pour le séchage des cotonnades (indiennes); elle se trouve près du marché couvert (1893).
- la maison aux masques (46 rue de la Boulangerie) : construite en 1740, elle comporte 4 mascarons sur sa façade
Bonne visite.
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En train avec le RER B pour visiter les environs de Paris
En train depuis la gare du Nord pour visiter les environs de Paris
Balade dans la proche banlieue de Paris
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