Dijon, les lieux incontournables à visiter

Publié le par hunza

Classé au patrimoine mondial de l'Unesco, le centre-ville de Dijon possède l'un des plus importants patrimoines architecturaux civils de France. Quant au palais des ducs et des Etats de Bourgogne, il rappelle que la ville a été longtemps la capitale d'un duché qui a connu un développement extraordinaire au 14 et 15ème siècle puisque ses limites englobaient au nord de l'Europe la riche Flandre. Et puis, comment ne pas parler de la proximité des grands crus de Bourgogne dont Dijon est en quelque sorte la porte d'entrée. Une visite s'impose donc et il faut compter au moins une bonne journée pour voir l'essentiel.

 

Comment venir à Dijon :

  •  En train (1h40 minutes environ de trajet en TGV depuis Paris) :

Pour les horaires, cliquez ici

  •  En bus :

Depuis la loi Macron de 2015 sur la libéralisation du voyage en autocar longue distance, des opérateurs ont ouvert des lignes de bus à bas coût qui desservent Dijon :

Pour plus d’informations sur Flixbus, cliquez ici

Pour plus d’informations sur BlaBlaCar Bus, cliquez ici

 

Pour se déplacer, on peut aussi utiliser le covoiturage : https://www.blablacar.fr/

 

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Cartes de la ville 

L'office de tourisme se trouve dans le Palais des Etats de Bourgogne, au n°11 de la rue des Forges. Il y a aussi une annexe près de la gare SNCF.

Pour consulter le plan du centre-ville distribué par l'office de tourisme, cliquez ici

On peut acheter le guide intitulé "le parcours de la chouette" qui permet de découvrir les principaux monuments de la ville et leur histoire. A défaut de disposer du livret, on peut suivre le parcours grâce au balisage au sol en forme de chouette en bronze.

Pour plus d'infos sur le parcours de la chouette, cliquez ici

Pour consulter le plan de Dijon sur "OpenStreetMap", cliquez ici

 

Météo :

Pour la consulter, cliquez ici

 

Se déplacer dans Dijon :

Keolis Dijon Mobilités, filiale du Groupe Keolis, est en charge de l’exploitation du réseau DiviaMobilités.

Pour plus d’informations sur les transports, cliquez ici

Le tramway de Dijon

Le tramway de Dijon

 

Brève histoire de Dijon

 

Les Celtes s'installent à Divio.

- 52 avant J.-C. : défaite de Vercingétorix à Alésia et commencement de la période gallo-romaine.

- 179 : Bénignus, prêtre chrétien, qui venait évangéliser la ville est arrêté et meurt en martyr.

- 275 : construction d'une enceinte pour défendre la cité réduite à 11 hectares des invasions germaniques. 

- 470 : arrivée des Burgondes.

- 534-536 : les Mérovingiens conquièrent leur royaume.

L'administration carolingienne s'exerce sur des "pagi" qui sont des subdivisions territoriales dirigées, soit par un des compagnons de Charlemagne qui prend le titre de comte, soit par un évêque. 

843 : lors du traité de Verdun, l'empire de Charlemagne est divisé entre ses 3 petits fils et une partie de la Bourgogne revient à Charles le Chauve (Neustrie) tandis que l'autre échoit à son frère Lothaire (Lotharingie), avec la Saône pour frontière.

- 1016 : le roi de France, le capétien Robert le Pieux, qui avait récupéré le duché de Bourgogne en 1006 y adjoint Dijon. Le duché devient titre d’apanage et est transmis à l'un de ses fils en 1031. C'est le début de la dynastie des ducs capétiens qui choisissent Dijon comme capitale.

- 1137 : grand incendie de Dijon. Lors de la reconstruction, une seconde enceinte est édifiée. Longue de 3 km, elle entoure une cité dont la surface est passée à 98 hectares. 

- 1361 : Philippe de Rouvres, dernier duc capétien, meurt sans héritier. En conséquence, la Bourgogne revient au roi de France, le Valois Jean II le Bon, qui la donne en apanage en 1363 à son fils Philippe le Hardi. C'est donc lui qui, grâce à son mariage avec Marguerite de Flandre en juin 1369, est à l'origine de l'extraordinaire développement territorial (jusqu'à la mer du Nord), politique, économique et culturel de l'Etat bourguignon dont Dijon est la capitale.

- 27 avril 1404 : avènement de Jean sans Peur.  

- 10 septembre 1419 : il est assassiné et son fils Philippe III le Bon lui succède.  

- 15 juin 1467 : à la mort de son père, avènement de Charles Le Téméraire qui va dilapider en 10 ans tout ce que ces prédécesseurs avaient acquis. 

- 5 janvier 1477 : Charles Le Téméraire est tué lors du siège de Nancy. C'est donc sa fille, Marie de Bourgogne, qui hérite du duché. Mais le roi de France, Louis XI, en profite pour faire envahir le duché et l'annexer.

- 21 avril 1477 : Marie de Bourgogne épouse Maximilien de Habsbourg qui va prendre en charge la sécurité des terres des Etats bourguignons sans pouvoir récupérer les terres occupées par l'armée royale.

- 27 mars 1482 : mort accidentelle de Marie De Bourgogne qui va être l'occasion pour Louis XI de signer le traité d'Arras en décembre de la même année qui va régler la succession de Charles le Téméraire en rattachant définitivement le duché de Bourgogne au royaume de France.

 

VISITE DE LA VILLE 

Dijon est une ville de 157 738 habitants environ (chiffre INSEE de 2017)
Labellisée ville d’art d’histoire en 2008

 

La loi du 4 août 1962 (loi Malraux) a été utilisée par la municipalité pour mettre en place un des plus vastes secteurs sauvegardés de France (97 hectares) en février 1990 permettant de restaurer, rénover et réhabiliter une partie du centre historique. Ainsi, de nombreuses maisons anciennes ont pu être sauvées et présentent aux promeneurs urbains que nous sommes de belles façades à admirer tout en profitant d'un espace piétonnier étendu.  

De plus, le 4 juillet 2015, l'Unesco a inscrit "les climats* du vignoble de Bourgogne" sur la liste du patrimoine mondial de l'humanité en tant que paysage culturel et naturel en y associant les villes de Dijon et Beaune.

*Le climat désigne une parcelle de vigne bien délimitée, travaillée depuis des siècles et qui a ses qualités propres (géologie, exposition au soleil, altitude, pente, etc ...). En Bourgogne, on en recense plus de 1 000.

 

BALADE DANS DIJON

 

Le palais des ducs de Bourgogne et des Etats de Bourgogne

Superbement restauré, il abrite l'hôtel de ville, le musée des Beaux-arts, les archives municipales et l'office du tourisme.
Ancienne forteresse, il a été reconstruit à la demande de Philippe le Hardi en 1365 (tour Neuve dite aussi tour de Bar car le duc de Bar y a été enfermé à deux reprises) puis Philippe le Bon l'a fait remanier au 15ème siècle en y faisant ajouter un grand logis ainsi qu'une tour terrasse haute de 46 mètres symbolisant toute sa puissance. Au 17ème siècle, suivant les plans de Jules Hardouin Mansart, des bâtiments sont rajoutés dans le cadre de l'aménagement de la superbe place Royale (rebaptisée en 1944 place de la Libération) en forme d'hémicycle et ce sont ceux-là que l'on voit lorsqu’on arrive de la rue de la Liberté.

Sachez qu'il est possible de monter au sommet de la tour (316 marches) pour profiter d'un panorama exceptionnel sur la ville et les alentours. Par temps clair, on peut même apercevoir le Mont-Blanc. L'accès est payant et il faut réserver sa place auprès de l'office du tourisme.

Pour plus d’informations, cliquez ici

 Dijon, palais des ducs et des États de Bourgogne

Dijon, palais des ducs et des États de Bourgogne

 

Le musée des Beaux-Arts (accès gratuit)

A voir, entre autres, la magnifique salle des tombeaux des ducs de Bourgogne dont le plus beau est celui de Philippe le Hardi avec ses 40 "Pleurants" réalisé par Claus Sluter.

Pour plus d’informations, cliquez ici

Musée des Beaux-Arts de Dijon

Musée des Beaux-Arts de Dijon

 

La place François Rude 

On l'appelle plus couramment place du Bareuzai car, en son centre, il y a une fontaine surmontée par une sculpture représentant un homme qui foule le raisin. Dans la réalité, cette personne, lorsqu'elle sortait de la cuve, avait le bas des jambes teinté de rose d'où le nom de de "bas rosé" ....  
A savoir : c'est le duc Philippe le Hardi qui prit une ordonnance en 1395 interdisant l'utilisation de tous les cépages autres que le pinot noir qui fera la renommée mondiale des vins de Bourgogne.

Cette place a été aménagée entre 1904 et 1905 et porte le nom du sculpteur François Rude qui est né à Dijon le 4 janvier 1784. 

Dijon, place François Rude

Dijon, place François Rude

 

Les édifices religieux 

Dijon est aussi surnommée la ville aux cents clochers car de nombreuses églises y ont été édifiées. En voici quelques-unes :

Cathédrale Saint-Bénigne :

Proche de la gare SNCF, elle est facilement reconnaissable par son toit aux tuiles vernissées. Ce n'est qu'en 1792 que la basilique qui faisait partie d'une abbaye fondée au 9ème siècle est devenue une cathédrale. Détruite par l'incendie de 1137, elle s'écroula encore au 13ème siècle. Sa construction en style gothique débuta en 1280. A l'intérieur, il y a un bel orgue datant de la première moitié du 18ème siècle (6 000 tuyaux). L'édifice religieux dispose aussi d'un carillon avec 63 cloches datant du 17ème siècle et qui est un des plus grands de France.

Mais l'intérêt principal de la cathédrale réside dans la visite de la crypte construite pour abriter le tombeau de Saint Bénigne, évangélisateur de la Bourgogne et martyr du 2ème siècle. En effet, cette dernière est exceptionnelle au niveau de son architecture. Datant de la période préromane, elle est de forme circulaire : en son centre, se trouvait le tombeau du saint que de très nombreux pèlerins sont venus vénérer tout en circulant autour, en empruntant un double déambulatoire. La construction de la crypte a été inspirée par le Saint-Sépulcre de Jérusalem. Près du sarcophage, une partie du sol est encore d'origine (an mil). 
 

Dijon, cathédrale Sainte-Benigne

Cathédrale Saint-Bénigne

Dijon, crypte de la cathédrale Saint-Bénigne

Dijon, crypte de la cathédrale Saint-Bénigne

 

A proximité se trouvent les vestiges de l'abbaye Saint-Bénigne qui font partie du musée archéologique de Dijon. En le visitant, on peut parcourir la salle capitulaire, le parloir, le chauffoir et la salle des moines qui datent du 11ème siècle ainsi que le dortoir des moines du 13ème siècle. 

Pour plus d’informations sur le musée, cliquez ici

Eglise Saint-Michel : édifiée à partir de 1497, elle présente une belle façade renaissance.

 

Eglise Saint-Michel

 

Eglise Notre Dame : édifiée entre 1230 et 1250, elle présente une magnifique façade ornée de fines colonnettes et de 51 fausses gargouilles représentant les vices et les vertus humaines. En effet, ces dernières datent de 1860 car les anciennes avaient été retirées suite à la chute de l'une d'entre elles qui représentait l'avarice sur un ... usurier qui entrait dans l'église. Sur la toiture, on peut apercevoir un jaquemart (sonneur de cloches) qui provient de Courtrai et qui date du 14ème siècle. A voir à l'intérieur : de beaux vitraux dont certains datent du 13ème siècle à voir, des traces de fresques, une vierge en bois sculptée au 11ème ou 12ème siècle et peinte en noir au 15ème ou 16ème siècle, etc ...
C'est sur le mur côté nord à l'extérieur de cette église que se trouve la "chouette" qui est la figure emblématique de Dijon qu'un imbécile a abîmé en janvier 2001. Si vous y posez votre main gauche, faites un vœu et, pour qu'il se réalise, dirigez-vous vers le parvis de l'église tout en tournant le dos à la salamandre qui se trouve à proximité ....

 

La fameuse chouette

 

Dijon, église Notre Dame

Eglise Notre Dame et rue de la Chouette

 

Eglise Saint-Jean : édifiée entre 1448 et 1470, elle a été désacralisée et, de nos jours, un théâtre s'y est installé.

Eglise Saint-Philibert : datant du 11ème - 12ème siècle, c'est la seule église romane de Dijon.

Les hôtels particuliers :

Après avoir été rattachée au royaume de France par Louis XI, Dijon est restée une ville importante sur le plan politique. Comme on y trouvait un parlement, une chambre des comptes et une chambre du Trésor, cela faisait un nombre élevé de personnages importants qui devaient loger en ville et qui se sont fait construire de beaux hôtels particuliers entre le 16ème et le 18ème siècle. On en recense environ une centaine. En voici quelques-uns parmi les plus remarquables :

- Hôtel des Godrans (1 rue François Rude) : facilement reconnaissable avec sa tourelle, il a été édifié au 15ème siècle.

- Hôtel Aubriot (40 rue des Forges) : construit au 13ème siècle, il a été entièrement reconstitué en 1908 avec son toit de tuiles vernissées.

 

Dijon, hôtel Aubriot

 

- Maison Maillard dite Milsand (38 rue des Forges) : construite au 16ème siècle. Si la façade côté rue est superbement décorée, il faut absolument aller jeter un coup d’œil dans l'arrière-cour.

 

Dijon, maison Maillard dite Milsand

Côté rue des Forges

 

Dijon, arrière-cour de la Maison Milsand

Côté arrière cour

 

- Maison Maillard (7 place Notre Dame) : construite à partir de 1565, elle présente une belle façade renaissance.

 

Dijon, maison Maillard

 

- Hôtel Vogüé (8 rue de la Chouette) : il a été édifié vers 1614.

 

Dijon, l'hôtel Vogüe

 

- Maison des Cariatides (28 rue Chaudronnerie) : elle a été édifiée au début du 17ème siècle.

 

Dijon, maison des Cariatides

 

- Hôtel Rolin (8 de la rue Jeannin) : il a été édifié au 17ème siècle.

- Hôtel  Pérard de la Vesvre (17-19 rue Jeannin) : il a été construit vers 1661.

- Hôtel de Berbis (16 place des Ducs) : il a été édifié au 16ème siècle.

 

Dijon, hôtel de Berbis

 

- Hôtel des Barres (43 de la rue Chabot-Charny) : il a été édifié vers 1640 en style renaissance avec une tour d'escalier et une galerie à pans de bois. 

- Hôtel Fyot de Mimeure (23 rue Amiral-Roussin) : il a été construit vers 1662 et est orné d’une belle façade renaissance.

- Hôtel Bouhier de Savigny (12 rue Vauban) : il a été construit vers 1640.

- Hôtel Legouz de Gerlandau (21 rue Vauban) : il a été construit vers 1690.

- Hôtel Févret de Saint-Mesmin (8 place Bossuet) : il a été construit vers 1697-98.

- Hôtel Bouchu, dit d’Esterno (1 rue Monge) : il a été construit vers vers 1641.

Maisons à pans de bois :

On en recense environ une soixantaine dont la grande majorité a été édifiée entre le 15ème et le 16ème siècle. C'est dans la rue Verrerie qu'elles sont les plus nombreuses.
Parmi les plus belles :
- "Maison aux Trois Pignons" (1440 ?) à l'angle de la rue des Forges et de la rue Chaudronnerie
- Maison au n°31 de la rue Amiral Roussin (vers 1440 ?)
- "Maison des Trois Visages" (1470 ?) à l'angle de la rue de la Liberté et de la rue Bossuet 
- "Maison Millière" (1483) au n°10 rue de la Chouette.

 

Dijon, rue Verrerie

 

Dijon, rue Verrerie

Rue Verrerie

 

Dijon, rue Auguste Comte

Rue Auguste Comte

 

Dijon, rue Stephen Liegeard

Rue Stephen Liegeard

 

Le musée de la vie bourguignonne (accès gratuit) :

Installé dans un ancien monastère cistercien, il présente la vie quotidienne des Bourguignons au 19ème et au début du 20ème siècle. On peut y voir, entre autres, d'intéressantes reconstitutions d’anciens magasins.

Pour plus d’informations, cliquez ici

 

Les halles :  

Construites entre 1873 et 1875, elles sont dotées d'une charpente métallique et constituées de 4 pavillons d’une surface totale de 4 400 m². Les jours de marché sont le mardi, le jeudi, le vendredi et le samedi matin.
C'est l'occasion pour dire que Gustave Eiffel qui est né à Dijon n'a pas participé à la réalisation de ces halles.  

Le puits de Moïse (chartreuse de Champmol) :

Ne pas oublier de se rendre à la chartreuse de Champmol qui se trouve excentrée par rapport au centre-ville pour y admirer le puits de Moïse qui, autrefois, constituait le piédestal d'un calvaire. Très expressives, les statues polychromes sculptées entre 1395 et 1405 par Claus Sluter représentent des prophètes de l'Ancien Testament (Moïse, David, Jérémie, Zacharie, Daniel et Isaïe) surmontés d'anges.
Voir aussi les statues, elles aussi réalisées 
par Claus Sluter, qui ornent le portail de la chapelle.
C'est Philippe le Hardi qui, pour montrer sa puissance, a fait construire cette chartreuse qui devait servir de nécropole princière. Détruite à la révolution française, les vestiges visibles de nos jours se trouvent dans l'enceinte d'un centre hospitalier.

Attention : bien vérifier les heures d'ouverture du Puits de Moïse avant de s'y rendre.

 

Le grand lavoir des Chartreux :

On peut aller le voir en se rendant à la chartreuse de Champmol. Edifié en 1756, il utilise les eaux des sources du Raines qui ont été canalisées pour alimenter 6 bassins (de nos jours, il n'en reste plus que 5 qui sont encore visibles).

Dijon,  grand lavoir des Chartreux

Dijon, grand lavoir des Chartreux

 

Jardin de l'Arquebuse : situé à proximité de la gare, il mérite le détour surtout si vous attendez votre train ....

A voir si vous avez du temps :

- l'immeuble art nouveau qui se situe place Grangier qui est derrière les Galeries Lafayette donnant sur la rue de la Liberté.

- la tour du petit Saint-Benigne, qui est visible depuis la cour de l'hôtel particulier Patarin sis au n°11 de rue Charrue, est un  vestige de l'enceinte gallo-romaine du 3ème siècle.

 

Bon séjour

 

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