Bordeaux, les lieux incontournables à visiter
Située au cœur d'un vignoble produisant des vins parmi les plus fameux, la ville de Bordeaux a été classée au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco en 2007 grâce à l'exceptionnelle richesse architecturale datant du 18ème siècle qui a été remarquablement mis en valeur. Auparavant surnommée "la belle endormie", Bordeaux connait un renouveau dans tous les domaines depuis la fin des années 90 à tel point qu'elle a retrouvé une attractivité qu'elle avait perdue au détriment de Toulouse, l'autre grande métropole du sud-ouest. Et, comme la qualité de vie est bien là et que l'agglomération est très bien desservie par les transports, une visite s'impose.
Comment venir à Bordeaux :
- En TGV (compter 2h04 de temps de trajet depuis Paris Montparnasse pour une distance de 583 km) :
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- En bus :
Depuis la loi Macron de 2015 sur la libéralisation du voyage en autocar longue distance, des opérateurs ont ouvert des lignes de bus à bas coût qui desservent Bordeaux :
Pour plus d’informations sur Flixbus, cliquez ici
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Pour se déplacer, on peut aussi utiliser le covoiturage : https://www.blablacar.fr/
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Cartes de la ville
L'office de tourisme se trouve sur la place des Quinconces, à 3 km à pied de la gare SNCF.
Pour consulter les brochures et plans de Bordeaux édités par l'office de tourisme, cliquez ici
Pour consulter le plan de Bordeaux sur OpenStreetMap, cliquez ici
Pour afficher Bordeaux et ses environs sur le site GEOPORTAIL, cliquez ici
Météo :
Pour la consulter, cliquez ici
Pour consulter les webcams, cliquez ici
Se déplacer dans Bordeaux :
Le tramway est devenu la pièce maîtresse du transport en commun bordelais TBM (Transport Métropole Bordeaux). Plusieurs lignes permettent de se déplacer dans l'agglomération sans oublier les bus ainsi que les navettes fluviales sur la Garonne qui relient Lormont au pont de pierre en passant par la Cité du Vin et la place des Quinconces.
VISITE DE LA VILLE
Bordeaux est une ville de 259 809 habitants (chiffre INSEE en 2020)
La loi du 4 août 1962 (loi Malraux) a été utilisée par la municipalité pour mettre en place un secteur sauvegardé* qui permettait de sauver et de mettre en valeur le patrimoine bâti historique tout en l'adaptant aux évolutions de la vie contemporaine. Créé en 1967, il a été approuvé par décret le 25 octobre 1988 et concernait un périmètre de 147 hectares.
* En application d'une loi du 7 juillet 2016, le terme de "secteur sauvegardé" a été remplacé par celui de "Site Patrimonial Remarquable".
Bordeaux à pied
Ci-dessous, voici un parcours de 10,5 km à faire pour voir l'essentiel de la ville. Bien sûr, il est loin d'être parfait car il est bien évident que Bordeaux ne se résume pas uniquement à ces quartiers traversés.
Tout peut se faire à pied mais on peut aussi combiner transport en commun et marche.
Arrivé à hauteur de la place des Quinconces, vous pouvez continuer à pied sur les quais de la Garonne jusqu'à la Cité du Vin, soit 2,5 km à parcourir. Pour revenir, vous pouvez emprunter le tramway ou bien la navette fluviale.
Ce qu'il faut voir impérativement à Bordeaux
Les quais de la Garonne :
Situé dans une courbure de la Garonne comparable à la forme d'un croissant de lune, le port de la Lune présente une façade qui est un ensemble architectural exceptionnel du 18ème siècle.
Alors que Bordeaux était encore une ville médiévale entourée de remparts à la fin du règne de Louis XIV, il est décidé de la transformer, de la moderniser, afin qu'elle soit le reflet de la puissance économique qui émane de son port qui est l'un des plus importants au monde.
D'abord, c'est l'intendant Boucher qui confie aux architectes Gabriel père et fils l'aménagement de la place royale dédiée au roi Louis XV. Réalisée entre 1730 et 1755, elle s'inspire de la place Vendôme à Paris. Les murs d'enceinte sont démolis pour ouvrir la ville sur le port et, pour la première fois, un quai est construit. Au sud, on élève l'hôtel des Fermes et, au nord, la Bourse. Durant la Révolution française, la statue équestre du roi qui trônait au milieu est abattue et l'endroit est débaptisé. Le nom actuel de place de la Bourse lui a été donnée dans le courant du 19ème siècle.
Puis, le successeur de Boucher, l'intendant Tourny, a continué d'embellir les quais de la Garonne en y faisant construire une suite de bâtiments dans une belle unité de style. C'est la fameuse façade qui s'étend sur 1 km le long du fleuve.
Au siècle suivant, le port s'est agrandi et de nombreux entrepôts ont été construits tout du long. Après la seconde guerre mondiale, les activités portuaires se sont déplacées en aval de la ville et le port est devenu une zone désaffectée et interdite d'accès aux habitants. En 1995, c'est l'arrivée du nouveau maire Alain Juppé qui a permis la réappropriation des quais de la Garonne par les Bordelais. D'une part, il décide d'entreprendre la mise en valeur du patrimoine architectural de la ville et, d'autre part, il fait aménager une promenade le long du fleuve entre la gare de Bordeaux Saint-Jean et les bassins à flots du nouveau quartier Bacalan.
En 2006, dans le cadre de ce réaménagement des berges, un immense miroir d'eau constitué par un assemblage de dalles de granit sur une longueur de 130 mètres est inauguré devant la place de la Bourse. Les façades s'y reflètent. C'est magnifique. A voir de jour comme de nuit.
Côté amont, se trouve le pont de pierre long de 487 m. Voulu par Napoléon Ier pour permettre à la "Grande Armée" qui allait combattre en Espagne de franchir facilement la Garonne, il est inauguré le 1er mai 1822. Avant sa réalisation, la traversée du fleuve se faisait au moyen de bacs. Après, elle va permettre le développement de la ville sur la rive droite.
Ses 17 arches correspondent aux 17 lettres de "Napoleon Bonaparte".
Coté aval, c'est la direction de la place des Quinconces puis du quartier des Chartrons qui s'est développé à partir du 17ème siècle et qui était entièrement dévolu au négoce du vin.
La place des Quinconces :
C'est tout simplement la plus grande place de France (126 000 m²), loin devant la place de la Concorde à Paris (86 000 m²). Elle a été aménagée entre 1818 et 1828 après la démolition du château Trompette qui occupait l'emplacement. Côté Garonne, elle est délimitée par 2 colonnes rostrales élevées en 1829 et c'est le monument-fontaine en mémoire des Girondins qui marque son extrémité opposée. La construction de ce dernier a débuté en 1894 pour s'achever en 1902 et sa hauteur atteint 54 mètres.
Le grand théâtre et la place de la Comédie :
La construction du grand-théâtre d'après les plans de l'architecte Victor Louis débute à partir de la fin de 1773. Les travaux vont durer 7 ans car une partie de l'édifice doit reposer sur une zone marécageuse ce qui pose d'énormes problèmes d'instabilité. Finalement, il est inauguré le 7 avril 1780 et c'est l'un des plus anciens théâtres d'Europe. C'est aussi et surtout l'un des monuments emblématiques de Bordeaux avec sa façade présentant un péristyle à 12 colonnes corinthiennes supportant une corniche et ses douze statues de pierre représentant 9 muses et 3 déesses de la mythologie antique. Sa grande salle à l'italienne peut contenir jusqu'à 1 200 spectateurs.
Quant à la place de la Comédie, c'est l'ancien forum romain où se croisait le décumanus maximus (axe est-ouest) et le cardo maximus (axe nord-sud).
La rue Sainte-Catherine :
C'est la plus longue rue piétonne commerçante d'Europe. Débutant place de la Comédie, elle s'achève place des Victoires (1.25 km). Elle suit l'ancien tracé du cardo gallo-romain (voir ci-dessus).
La place du Parlement :
Inaugurée en 1760, elle est bordée par des immeubles à l'architecture classique datant du 18ème siècle. En son centre, la fontaine "Garros" date du second empire.
La tour Pey Berland et la cathédrale Saint-André :
Haute de 66 m, la tour-clocher Pey-Berland a été édifiée entre 1440 et 1446. Elle est séparée de la cathédrale pour éviter de fragiliser la structure cette dernière en raison de son poids avec les cloches et de l'instabilité du sol qui, à l'origine, était marécageux.
Elle se visite. Attention, il est préférable de réserver à l'avance sur le site internet le créneau horaire qui vous convient. En effet, si vous vous présentez au guichet sans réservation, il est fort probable qu'on vous refuse l'accès surtout durant les vacances, car, seulement 20 personnes sont autorisées à se retrouver en même temps dans la tour .... De plus, il y a 233 marches à monter avant d'accéder aux deux terrasses et de pouvoir profiter d'un panorama exceptionnel sur la ville.
63 000 personnes l'ont visitée en 2023.
Pour plus d’informations sur la visite, cliquez ici
La tour Pey-Berland
Panorama depuis la tour Pey-Berland en direction du clocher de la basilique Saint-Michel et de la Grosse Horloge
La cathédrale Saint-André vue depuis la tour Pey-Berland
Quant à la cathédrale, sa construction a débuté au 11ème siècle et elle a été consacrée solennellement le 1 mai 1096 par le pape Urbain II. Par la suite, elle a été plusieurs fois remaniée.
La nef romane date de la seconde moitié du 12ème siècle alors que le choeur avec ses chapelles rayonnantes et son déambulatoire ainsi que le transept sont du 14ème siècle.
Avant de pénétrer dans la cathédrale, il faut contempler le portail royal au tympan richement sculpté qui représente le jugement dernier et dont la réalisation remonte au 13ème siècle (vers 1250). Sa rénovation qui a été achevée en 2015, a permis de retrouver des traces de peinture tel le fond bleu du tympan ainsi que la couleur de certains yeux des statues. Au Moyen Age, il était entièrement peint.
Côté histoire, les mariages d'Aliénor d'Aquitaine avec le futur roi de France Louis VII le 25 juillet 1137 ainsi que celui de Louis XIII avec Anne d'Autriche le 28 novembre 1615 ont été célébrés dans la cathédrale.
A proximité de la cathédrale se trouve le palais Rohan occupé par l'Hôtel de Ville depuis 1835. Avant la Révolution, ce bâtiment achevé de construire en 1784 était l'hôtel de l'Archevêché.
L'église Notre-Dame et le cloître ou Cour Mably :
Construite dans un style baroque au 17ème siècle, l'intérieur de cette église est richement décoré (grilles en fer forgé, vitraux et peintures). Pour accéder au cloître (1684) voisin, il faut ressortir et faire quelques pas sur la gauche pour trouver l'entrée de la Cour Mably.
La basilique Saint-Seurin :
C'est l'église la plus ancienne de Bordeaux puisque sa construction remonte au 11ème siècle (il reste de cette époque le porche ouest roman). Mais elle abrite une crypte encore plus ancienne et, pour moi, c'est la partie la plus intéressante de l'édifice religieux avec ses colonnes, ses chapiteaux gallo-romains, ses sarcophages paléochrétiens du 6ème siècle et le cénotaphe de Saint-Fort.
Un peu excentrée par rapport au centre-ville, elle est peu visitée par les touristes bien qu'elle soit inscrite au patrimoine mondial de l'humanité par l'Unesco au titre des chemins de Saint-Jacques de Compostelle comme le sont la cathédrale Saint-André et la basilique Saint-Michel.
La basilique Saint-Michel :
De style gothique rayonnant puis flamboyant, elle a été construite entre le 14ème et le 16ème siècle. Par ses dimensions et sa beauté, elle devait symboliser toute la puissance économique de la bourgeoisie marchande qui vivait au cœur du quartier Saint-Michel situé à côté du port dont elle tirait toute sa richesse.
Ainsi, le clocher devait dépasser celui de la cathédrale. Edifié entre 1472 et 1492, il atteint la hauteur phénoménale de 114.6 m. Comme la tour Pey-Berland, il est séparé de l'édifice pour éviter de fragiliser sa structure en raison de son poids et de l'instabilité du sol causée par la proximité de la Garonne. Par ses dimensions, il fait partie donc des plus hauts clochers de France derrière Rouen, Strasbourg et Chartres.
La partie haute s'étant effondrée à la suite d'un ouragan survenu en septembre 1768, c'est l'architecte Paul Abadie qui s'attelle à une restauration majeure à partir de 1860 dans le style néogothique.
On peut y monter (235 marches) pour profiter d'un beau panorama sur la ville.
Pour connaitre les horaires de visite, cliquez ici
A savoir : depuis 1865, un carillon y est installé. Constitué de 22 cloches, il sonne tous les quart-d'heures et joue des ritournelles à 12h30 et 18h45 tous les jours.
A l'intérieur de la basilique, on peut voir :
- le splendide retable avec ses panneaux en albâtre du 15ème siècle racontant la vie de la Vierge dans la chapelle Saint-Joseph édifiée entre 1526 et 1528 avec sa belle voûte.
- une mise au tombeau en pierre du 15ème siècle dans la chapelle du Saint-Sépulcre.
- l'orgue reconstruit totalement par Merklin en 1865.
Les portes Saint-Eloi et Cailhau :
- la porte Saint-Eloi ou Grosse Horloge : c'est un vestige des remparts du 13ème siècle. Construite en 1246, elle a servi de prison dès le 16ème siècle et une horloge astronomique y a été installée en 1759. Elle peut se visiter.
La Grosse Horloge
- La porte Cailhau : construite en 1493 et 1496, elle faisait partie des murailles de la ville. Elle peut se visiter.
La porte Cailhau
Abbatiale Sainte-Croix :
C'est une église au style roman d'influence saintongeaise construite entre la fin du 11ème et le début du 12ème siècle. Elle a été très fortement restaurée par Paul Abadie au 19ème siècle qui y a fait rajouter le clocher gauche.
A l'intérieur, voir le grand orgue réalisé par le moine Dom Bedos de Celles en 1750.
Attention, elle est rarement ouverte, seulement les vendredis après-midis et le 1er dimanche de chaque mois.
A voir si vous avez du temps
Les vestiges de la période gallo-romaine :
- le palais Gallien : construit entre 90 et 150 après J.-C., il accueillait environ 15 000 spectateurs. Ses dimensions étaient de 136 m de longueur sur 110 m de largeur et 25 m de hauteur.
- dans le passage de la Tour de Gassies (entrez par la rue des Argentiers), il reste un tout petit morceau d'une des 46 tours qui épaulaient l'enceinte antique.
- dans la rue Paul Painlevé, on peut voir une tour dont le soubassement serait d’origine gallo-romaine.
Les vestiges du Moyen Age :
- dans l'impasse de la Fontaine Bouquière, il reste un morceau de l'enceinte du 13ème siècle.
- dans le square Dom Bedos, la fontaine est accolée à un pan de mur des anciens remparts datant du 14ème siècle
- le jardin des remparts (ou jardin des douves) : il est aménagé le long des remparts du 14ème siècle.
- rue Peyronnet : un bout de rempart du 14ème siècle encore visible près du conservatoire de Bordeaux Jacques Thibaud.
- rue des Frères Bonnie, les tours dite Anglais et des Minimes sont tout ce qui reste du fort du Hâ. Actuellement, elles font partie du périmètre du tribunal de grande instance et de l’école de la magistrature et ne se visitent pas.
Les habitations anciennes de Bordeaux :
Les rares maisons à pans de bois bordelaises sont visibles au :
- n°5 de la rue Porte Basse
- n°2 de la rue Pilet
- à l'angle de la rue Arnaud Miqueu et du n°33 de la rue du Loup
Des maisons médiévales au :
- n°4 de l'impasse rue Neuve : c'est la plus vieille maison (14ème siècle) de Bordeaux.
- n°47 de la rue des Bahutiers
- dans la rue de la Tour du Pin
- etc ...
On recense environ 150 immeubles datant du 18ème siècle dont une quinzaine d'hôtels particuliers.
A voir aussi :
- la maison de Jeanne Lartigue (épouse de Montesquieu) au n°5 de l'impasse Rue Neuve.
- la maison cantonale au n°20 de la rue de Châteauneuf (rive droite de la Garonne) : construite entre 1925 et 1926, c'est un mélange d'art déco et d'art nouveau.
Le couvent de l'Annonciade (54 rue Magendie) :
Aujourd'hui occupé par la direction régionale des affaires culturelles, il ne se visite pas hormis durant les journées du patrimoine. Dommage car, il abrite une belle chapelle gothique avec une mise au tombeau (1590) en pierre et surtout un beau cloître renaissance.
Le jardin public :
Créé à la demande de l'intendant Tourny entre 1746 et 1746, ce fut d'abord un jardin à la française. Laissé à l'abandon au 19ème siècle, il a été réaménagé en parc à l'anglaise en 1856.
D'une surface de 11 hectares, c'est le poumon vert de la ville. Depuis 2010, il est labellisé "jardin remarquable".
Le musée des Beaux-Arts (20 cours d'Albret) :
Il ne présente pas d'oeuvre(s) exceptionnelle(s), cependant on peut y voir, entre autres, des œuvres du peintre local Odilon Redon.
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Le musée d'Aquitaine (20 cours Pasteur) :
Il retrace l'histoire de la ville de Bordeaux et de la région depuis la préhistoire jusqu'à nos jours. Ainsi, on y trouve des salles consacrées aux résultats des fouilles sur la période gallo-romaine et d'autres consacrées à la période de la traite négrière.
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A voir dans le quartier de Bacalan
La Cité du Vin (près du pont Chaban Delmas, à l'arrêt "La Cité du Vin" du tram de la ligne B) :
Elle a été inaugurée en 2016. Son architecture étrange évoque le tourbillon du vin dans un verre. A l'intérieur, toute l'histoire de cette boisson alcoolisée qui a fait la fortune de Bordeaux y est expliquée.
A proximité se trouve le pont levant Chaban Delmas inauguré en 2013. C'est le plus haut d'Europe. En position élevé (55 mètres), il permet aux énormes bateaux de croisière de passer dessous pour aller s'amarrer au port de la Lune.
La nuit, les 4 tours hautes de 81 m s'illuminent en bleu pendant la marée haute ou en vert quand la mer baisse.
Le bassin des Lumières (le long des bassins à flot) :
C'est l'ancienne base sous-marine construite durant la seconde guerre mondiale par les Allemands dans le cadre du mur de l'Atlantique. Ce bâtiment en béton longtemps abandonné est devenu le lieu d'un musée numérique de l'image aménagé autour des bassins qui abritaient les sous-marins allemands (U-boot).
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Quelques bonnes adresses où se restaurer et boire un verre
- le Gabriel (place de la Bourse)
- La terrasse Saint-Pierre (place Saint-Pierre)
- Le Chapon Fin (5 rue Montesquieu)
- Chez Dupont (45 rue Notre Dame)
- Le bar Notre Dame (82 rue Notre Dame)
Bonne balade.
Pour visiter Bordeaux d'une autre manière, pensez aux "greeters" :
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Pour ceux qui ont le temps de séjourner voir mes articles sur les alentours de Bordeaux en cliquant sur les liens suivants :
Découvrir Arcachon, le bassin et ses environs
(Il faut compter environ 55 minutes en voyageant en train pour relier Bordeaux à Arcachon)
Saint-Emilion, une visite incontournable dans les environs de Bordeaux
(Il faut compter environ 40 minutes en voyageant en train pour relier Bordeaux à Saint-Emilion)
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